• SC 543

    Origène

    Commentaire sur l'Épître aux Romains, Tome III, livres VI-VIII

    août 2011

    Texte critique établi par Caroline P. Hammond Bammel. — Introduction par Michel Fédou, traduction et notes par Luc Brésard, o.c.s.o. et Michel Fédou, s.j., index par Luc Brésard.

    Ouvrage publié avec le concours de l'Œuvre d'Orient.
    Révision assurée par Isabelle Brunetière.
    ISBN : 9782204096577
    606 pages
    Sur une crète périlleuse, Origène chemine avec saint Paul entre liberté et grâce, foi et œuvres.

    Présentation

    Le Commentaire d'Origène sur l'Épître aux Romains a été composé à Césarée vers 243, et traduit par Rufin d'Aquilée dans les années 405-406. Après la publication des livres I à V (édités dans SC 532 et 539), le présent volume donne accès aux livres VI, VII et VIII, qui expliquent la section allant de Rm 6, 12 à Rm 11, 36.

    Le livre VI et les premiers chapitres du livre VII sont particulièrement riches pour l'anthropologie et pour la pneumatologie ; Origène y commente, entre autres, tous les passages de Rm 8 sur l'Esprit saint. La suite du livre VII est consacrée au texte de Rm 9, qui donne lieu à une importante réflexion sur l'élection et sur le libre arbitre ; Origène s'efforce ici de maintenir contre les gnostiques l'affirmation de la liberté humaine. Enfin, le livre VIII porte sur les chapitres 10 et 11 de l'épître ; on relève notamment l'insistance d'Origène sur le « reste » du peuple élu, et sur la perspective d'un salut pour « tout Israël » lorsque la « plénitude des nations sera entrée » (Rm 11, 25-26).

    Plus tard, dans l'Occident latin, la controverse pélagienne conduira à mettre avant tout l'accent sur les doctrines du péché, de la justification et de la grâce. Par ailleurs, sous l'effet d'un antijudaïsme dominant, on en viendra parfois à oublier l'attachement de Paul à Israël et son espérance au sujet de ce peuple. De telles évolutions font apparaître, par contraste, l'originalité du Commentaire d'Origène. Cette originalité ne tient pas seulement au contexte de l'opposition à Marcion et aux gnostiques. Elle s'explique d'abord par l'attention de l'Alexandrin à un thème essentiel de l'Épître aux Romains : Origène a su reconnaître la place majeure que tenait, dans cet écrit, la méditation de Paul sur la destinée d'Israël et des nations.

    Michel Fédou, jésuite, agrégé de Lettres, enseigne au Centre Sèvres – Facultés jésuites de Paris. Il est l’auteur de plusieurs publications sur Origène. Luc Brésard, o.c.s.o., est moine de l’Abbaye de Cîteaux. Il a contribué à l’édition du Commentaire sur le Cantique des cantiques et des Homélies sur les psaumes 36 à 38.

    Le mot des Sources Chrétiennes

    Origène commente ici Rm 6, 12 à Rm 11, 36 qui contient des textes et des thèmes pauliniens particulièrement riches : théologie du baptême comme plongée dans la mort et la résurrection du Christ, vie dans l'Esprit, destin d'Israël dans l'Alliance. Ces textes amènent Origène à réfléchir sur le libre arbitre et la responsabilité humaine (où il s'oppose une fois encore aux gnostiques, ce qui donne à sa réflexion une perspective très différente de ce que sera la théologie occidentale de la grâce), sur la lutte entre la chair et l'esprit, sur les modes et les effets de la venue en nous de l'Esprit, qui nous attache au Christ, nous fait passer de l'esclavage à l'adoption et de la crainte à l'amour ; il aborde aussi (avec Rm 8, 28-30) la difficile question de la prédestination, qui l'amène à parler de l'union au Christ. Enfin, avec Rm 9-11, il traite de l'élection d'Israël et de la permanence de cette élection, d'une façon qui tranche heureusement sur beaucoup de propos tenus par les chrétiens de l'Antiquité et des siècles suivants ! Origène n'oublie pas que les croyants viennent aussi d'Israël, et ne fait pas de ce dernier un bloc d'opposition au Christ. Il rappelle que ce « faux pas » d'Israël a permis l'entrée des nations, et montre que la conversion d'Israël – qui n'est pas reniement de ce qu'il est – est à l'horizon de son espérance.

    Cet ensemble au tissage dense est difficile à résumer. Notons ce qui est dit à propos de la femme adultère de Rm 7, 3 : si nous restons tant soit peu soumis à la Loi ancienne, nous sommes adultères, car nous vivons avec deux lois ; il nous faut faire totalement mourir en nous la lettre pour accéder à une vraie liberté. Les juifs, qui vivent entièrement sous l'ancienne Loi, ne sont pas adultères puisqu'ils sont fidèles à « un seul mari ». Pour nous, c'est à toute loi autre que celle du Christ qu'il faut mourir. On voit qu'Origène ne vise pas spécialement le judaïsme (VI, 7). Autre idée glanée au livre VII, qui nuance le dogme antique de l'apatheia divine : il y a dans la nature divine elle-même un certain amour de compassion envers nos combats (VII, 4, 1).

    Bernard Meunier

    Œuvre(s) contenue(s) dans ce volume

    Livre VI : Rm 6, 12 – 8, 13. Le règne du péché ; notre défense : ne pas laisser la chair commander en nous. Esclaves du péché ou de la justice : c’est la vérité qui nous libère du péché et nous met dans l’ombre du Christ. La justice, chez Paul, équivaut aux vertus. Fruits du péché et fruits de la justice. Choisir le Christ, c’est choisir la vie en mourant au péché. Le Christ en venant a fait mourir la Loi, dont on est libéré comme d’un premier mari : suivre le Christ n’est donc pas transgresser la Loi ; et la vie dans ce nouveau couple ne peut plus être la même : nous mourons à la chair pour vivre dans la nouveauté de l’esprit. La loi naturelle (non celle de Moïse) manifeste le péché qui était mort, en lui redonnant vie par le commandement. La loi spirituelle est celle de Moïse ; l’homme charnel laisse agir le péché en lui, l’homme intérieur s’attache à la loi de Dieu ; les saints comme Paul, le psalmiste ou Daniel se disent captifs du péché pour que nous n’ayons pas honte de nous reconnaître tels. La force de l’habitude met un écart entre notre décision et notre conduite. Qui est complètement dans le Christ ne sert plus la loi de la lettre mais celle de l’Esprit. Ce qui est impossible à la Loi, c’est tout ce qui relève de son sens littéral ; le Christ a chassé le péché de la chair, nous ne sommes plus dans la chair. être dans l’Esprit, c’est dans l’Esprit du Christ, par qui nous recevons sagesse, justice, paix, sainteté. L’enjeu : mettre à mort en soi tous les actes de la chair par l’Esprit.

    Livre VII : Rm 8, 14 – 9, 33. Esprit de Dieu, esprit d’esclavage, esprit d’adoption qui nous fait héritiers du Christ. épreuves présentes et gloire future ; la création soumise à quelle vanité ? Son enfantement : l’évangile. Espérer ou voir ; les « esprits » donnés par l’Esprit (adoption, prophétie) ; notre espérance n’a pas pour objet le monde que l’on voit. L’Esprit nous apprend à formuler notre prière et à ne pas demander des choses charnelles, à nous de l’écouter. Conformes à l’image du Fils : passer de sa forme d’esclave à sa forme de Dieu ! Appels de Dieu, prédestination, liberté humaine. Notre prix est le prix qu’a versé Dieu pour nous en son Fils. Le Christ n’a pas d’accusateur, il intercède pour nous. Rejoindre les épreuves du Christ chaque jour de notre vie : nous n’en souffrirons pas si nous sommes dans l’amour. Les tentations évoquées par Paul sous les mots : mort, vie, anges, principautés, présent, avenir etc. Paul et Israël ; les dons faits à Israël ; le Christ, Dieu au-dessus de tout. Quelle est la véritable descendance d’Abraham ? Dieu choisit qui il élit. Malgré les apparences quand il endurcit le cœur de Pharaon, toute action de Dieu est juste et bonne. L’homme ne peut contester Dieu, il est comme un vase entre ses mains, à lui d’être un vase pur pour un usage noble. Vases de colère ou de miséricorde ? Celui que Dieu appelle « pas mon peuple » peut devenir fils. Le reste d’Israël, vase de miséricorde ; le Christ, « parole abrégée » de Dieu ; le Christ semence de Dieu ; les nations sous la loi naturelle, plus proches qu’Israël de la justice ; Jésus pierre d’achoppement.

    Livre VIII : Rm 10, 1 – 11, 36. Le zèle d’Israël pour Dieu n’est pas selon la connaissance. Notre justice est le Christ, qui est à la fois partout dans le monde et à l’intérieur de nous, et que nous confessons. Juifs et grecs, nous avons tous à invoquer le nom du Seigneur. Nous invoquons le Père et le Christ en qui nous croyons ; il faut pour cela les avoir entendus, donc il faut des apôtres qui les annoncent. Qui a entendu leur prédication ? Qui accueille le Christ, parmi les nations, les juifs, les chrétiens même ? L’alliance avec Israël n’est pas rompue, une partie du peuple est restée, justifiée à présent par la foi et non par les œuvres. Ceux d’Israël qui sont élus, qui ne sont pas aveugles, que la table des écritures n’a pas fait choir. Israël n’est pas tombé, mais sa faute a enrichi le monde ; la plénitude de la portion de Dieu sera réelle quand Israël reviendra. Paul et son ministère auprès des nations, jusqu’à la réconciliation d’Israël. Notre libre arbitre fait de nous des bons ou des mauvais arbres, mais la racine, c’est le Christ, et nous sommes greffés sur lui pour ne plus pécher ! Le mystère de Dieu et la fin de l’aveuglement d’Israël ; quel est « tout Israël » ? Le temps de la purification. L’Israël qui criait : « à mort ! Crucifie-le ! » reste dépositaire des dons de Dieu, qui permet le mal pour faire le bien ; de lui, par lui, en lui.

    Extrait(s)

    (VII, 2, 5, p. 263)

    Après cela il dit : Car la création est dans une attente impatiente de la révélation des fils de Dieu (Rm 8, 19). L’Apôtre, voulant montrer combien grande et de quelle nature est la gloire qui doit être révélée en lui-même ou en ceux qui se seront donné bien de la peine pour mener jusqu’au bout les combats du Christ, dit aussi que la création – en tant que raisonnable – a une certaine attente et porte l’espérance de ce temps où doit être révélée la gloire des fils de Dieu, c’est-à-dire quand sera révélé ce qui a été préparé pour ceux qui mériteront d’être fils de Dieu ; ou du moins quand, une fois retiré d’eux le voile qui les cachait, ils seront eux-mêmes manifestés comme étant fils de Dieu.

    (VIII, 9, 5, p. 545)

    Que tout homme qui se trouve dans l’Église considère ceci en lui-même, afin que, en quelque état où il se trouve, soit dans le clergé soit dans le peuple, il glorifie le ministère de sa foi et rende ses actions telles que les hommes, en voyant ses bonnes œuvres, glorifient le Père qui est dans les cieux. C’est en effet ce que faisait aussi Paul en enseignant les nations dont il était apôtre, en les instruisant, en nourrissant les faibles avec des légumes et les tout-petits avec du lait, en offrant aux robustes la nourriture plus solide de la parole, en enfantant de nouveau, avec une affection maternelle, ceux qui erraient et qui chancelaient dans la foi et qui étaient comme réduits à un état d’avorton, jusqu’à ce que le Christ fût formé en eux ; et en glorifiant par tout cela le ministère de son apostolat, il amenait sa chair, c’est-à-dire ses parents selon la chair, à être jaloux de la foi et zélés pour une bonne manière de vivre, afin de sauver, sinon tous, au moins quelques-uns d’entre eux. Ainsi donc, tandis qu’il porte une constante préoccupation et une sollicitude ininterrompue pour l’enseignement des nations et qu’il rend leur manière de vivre et leur existence dignes d’éloges, il invite et provoque les Israélites, qui étaient ses parents selon la chair, à imiter, en voyant cela, ceux qui progressent dans la foi en Dieu ; et c’est la gloire de son ministère lorsque, en formant les uns, il fait aussi progresser les autres.

    Errata

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    Texte concerné

    Correction

    Remarques

    305

    n. 2

    SC 532, p. 167-169

    SC 532, p. 169-171

     

    341

    l. 4

    elle ne sentira pas

    ne sentira pas

     

    559

    l. 8 du bas

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    quoique

     

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