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SC 136
Origène
Contre Celse, tome II
Livres III et IVdécembre 1968Introduction, texte critique, traduction et notes par Marcel Borret, s.j.
Ouvrage publié avec le concours du Centre National de la Recherche Scientifique.ISBN : 978-2-204-03421-0438 pagesUn philosophe païen défie le christianisme ? La réponse d'Origène au milieu du 3e siècle.
Présentation
Le Contre Celse, composé en 248, est la dernière des œuvres d’Origène. Il nous livre l’ultime expression de sa pensée et comme son testament. L’ouvrage, qui comprend huit livres, est une longue réfutation du Discours véritable, rédigé probablement vers la fin du IIe siècle par Celse, un philosophe païen, pour « diffamer le christianisme ». Le traité de Celse n’est plus connu aujourd’hui qu’à travers les larges extraits conservés dans la réfutation qu’en fit Origène.
Aux yeux de Celse, une religion révélée n’avait aucun sens et ne se maintenait que par l’imposture. Piqué au vif dans sa foi, Origène répond. Ce faisant, il propose une monumentale apologie du christianisme.Dans les livres III et IV, contenus dans ce tome II, il réplique entre autres aux attaques de Celse sur le merveilleux chrétien (les miracles de Jésus) opposé au merveilleux païen, sur le corps mortel d’un Dieu incarné, sur le manque de culture du christianisme, sur les interventions de Dieu dans le monde des humains, enfin sur le bien-fondé de l’interprétation allégorique des récits bibliques.
Spécialiste d’Origène, Marcel Borret, s.j. (1910-1994), a édité l’ensemble du Contre Celse dans la collection Sources Chrétiennes. Son édition a profité des leçons nouvelles du Papyrus de Toura et marque un progrès sensible par rapport à celle du Corpus de Berlin (1899). Seul ou en collaboration, M. Borret a édité dans la Collection plusieurs autres traités d’Origène (SC 286-287, 321, 352, 375-376, 389).
Le mot des Sources Chrétiennes
Le Contre Celse est un ouvrage de commande, imposé à Origène par son exigeant mécène et ami, Ambroise, un notable fortuné d'Alexandrie, qui souhaitait une réponse vigoureuse au pamphlet du philosophe païen. La longue réfutation par Origène du Discours véritable de Celse est la dernière en date de ses œuvres (248) et comme une manière de testament spirituel du grand Alexandrin : le croyant avec la richesse de sa foi, et le savant avec sa culture philosophique et sa connaissance de l'Écriture. Elle constitue une apologie monumentale de la religion chrétienne dont Celse, comme le firent à leur tour Porphyre et l'empereur Julien, prétendait prouver l'infériorité sur la philosophie grecque et la sottise. Même si Origène déclare, dans la préface de l'ouvrage, que « ce livre n'est pas du tout écrit pour des fidèles, mais soit pour ceux qui n'ont aucune expérience de la foi au Christ, soit pour ceux qui, au dire de l'Apôtre, sont faibles dans la foi (cf. Rm 14, 1) », le croyant lui-même sera impressionné par la force qu'y ont la réfutation des accusations de Celse et la démonstration touchant les vérités du christianisme.
Jean-Noël Guinot
Œuvre(s) contenue(s) dans ce volume
Le Contre Celse est la grande œuvre apologétique d’Origène, écrite à la fin de sa vie, achevée probablement en 258, deux années avant le déclenchement de la persécution de Dèce qui lui coûtera la vie. Origène réfute longuement, en 8 livres, le Discours véritable de Celse, un philosophe païen qui avait écrit cet essai vers 180 pour attaquer la tradition judéo-chrétienne au nom de la raison grecque. Son œuvre, perdue, est connue seulement par les nombreux extraits qu’en cite Origène. C’est pour ce dernier l’occasion, dans le sillage des apologies du 2e siècle, de poursuivre deux buts en même temps : réfuter les arguments antibibliques et antichrétiens de Celse, et prouver la vérité et l’ancienneté du christianisme. Ce faisant, Origène cite nombre d’auteurs païens perdus dont il nous sauve bien des extraits, en plus de ceux de Celse. Entre les Stromates de Clément et les Préparation et Démonstration évangélique d’Eusèbe, son œuvre s’inscrit dans ces monuments témoins d’un dialogue critique constant entre la culture gréco-romaine, le judaïsme et le christianisme.
Le texte grec du Contre Celse figure en entier dans 18 manuscrits et en partie dans 7 autres. Un papyrus de Toura du 7e siècle contient des extraits des livres I et II. Les manuscrits de la tradition directe, relativement récents, dépendent tous d’un manuscrit conservé du 13e siècle. Des extraits de l’œuvre se trouvent dans la Philocalie faite au 4e siècle par les Cappadociens.
Contenu
Livre III. Importance du débat sur Jésus, n’en déplaise à Celse. L’origine du peuple et de l’alphabet hébreux ne date pas de la sortie d’Égypte ; ni les juifs ni les chrétiens ne sont des révoltés en sécession ; causes des divisions entre chrétiens ; le christianisme est fondé sur l’Incarnation et ne doit rien aux égyptiens ; Jésus est différent de tous les héros grecs divinisés ; exemples divers : les Dioscures, Héraklès, Dionysos, Asclépios, Aristéas, Abaris, un héros de Clazomène, Cléomède, Antinoos… Le christianisme est fait pour les sages et ne promeut pas l’ignorance ; le recrutement et la formation des nouveaux chrétiens ; le christianisme ne dévoie personne et ne promet pas un pardon facile mais propose la guérison, d’où son appel aux pécheurs ; il croit la conversion toujours possible ; le christianisme ne détourne pas de la philosophie et ne la méprise pas.
Livre IV. Réflexion sur le pourquoi de l’Incarnation, le pourquoi du moment choisi par Dieu ; déluges grecs et déluge biblique ; images de la descente de Dieu ; le langage biblique ne compromet pas l’immutabilité de Dieu ; l’histoire confirme la Bible ; le mépris de Celse pour les juifs et les chrétiens est injustifié ; aucun humain n’est méprisable, ils sont tous à la ressemblance de Dieu qui veut les sauver malgré leurs fautes ; l’histoire d’Adam et Ève : comparaison avec les récits grecs, réfutation des railleries de Celse ; les récits de la Genèse, du déluge à Joseph : lecture allégorique nécessaire ; défense du corps humain comme œuvre de Dieu ; la question du mal ; les cycles grecs ; les anthropomorphismes bibliques sur Dieu expliqués ; défense de la providence divine pour les humains ; comparaison entre la condition humaine et la condition animale : capacités sociales, pouvoirs, divination, vertus ; les humains premiers dans le dessein de Dieu.
Extrait(s)
Contre Celse IV, 6 (p. 201-203)
Dieu, méconnu par la méchanceté des humains, voudrait être reconnu, non qu’il se juge diminué, mais parce que sa connaissance délivre du malheur celui qui le reconnaît. De plus, ce n’est pas dans le dessein de mettre à l’épreuve les croyants ou les incrédules qu’il habite lui-même en certains par sa mystérieuse puissance divine, ou qu’il leur envoie son Christ ; c’est pour écarter de tout malheur les croyants qui accueillent sa divinité et pour ôter aux incrédules l’occasion d’excuser leur manque de foi sous prétexte qu’ils n’ont pas entendu son enseignement. Dès lors, quel argument peut montrer que dans la logique de notre doctrine, Dieu serait d’après nous semblable à des parvenus avides d’ostentation ? Loin de l’être à notre égard quand il désire nous faire connaître et comprendre son excellence, Dieu veut implanter en nous la félicité qui naît dans nos âmes du fait qu’il est connu de nous ; et il prend à cœur, par le Christ et l’incessante venue du Logos, de nous faire recevoir l’intimité avec lui. La doctrine chrétienne ne prête donc à Dieu aucune ambition humaine.
Errata
Page Localisation Texte concerné Correction Remarques 16 § 2, l. 15
ἀνηγορεῦον ἀνηγόρευον 16 § 2, l. 16
ἀπεδοκιμάζον ἀπεδοκίμαζον 19 l. 2 ab imo Syrie Assyrie 33 l. 4 les enfants. les enfantsa. 10, a. Matth. 14, 21 ; 15, 38. 33 Apparat scipturaire, § 11,b I Thess. 5,2. I Thess. 5, 2. II Thess. 2, 2. 35 § 12, l. 6
s’anathématisent les uns les autres se réfutent eux-mêmes 35 § 12, l. 12
des sectes des écoles 37 l. 16 patronnées par nommées d’après 45 § 18, l. 4
leurs prophètes leurs soit-disant prophètes 51 § 22, l. 10
ses sectateurs
ses propres sectateurs 51 n. 4 Cf. Celse, II, 70. Cf. Celse, II, 70 et III, 23, 17. 59 l. 17 Cléomèdès Cléomède 59 n. 3, l. 2 Descript. gr. 6, 9, 6-83 Descript. gr. 6, 9, 6-8 60 § 25, l. 34
γηίνου γηΐνου 61 § 62, l. 11
Mésapontins Métapontins 65 § 27, l. 14
prestiges contes merveilleux 67 l. 5 prestiges contes merveilleux 71 l. 3-4 ab imo meme les membres les moins bons de ces églises même les moins bons des memebres de l’Église 72 § 80, l. 14
τίνες τινὲς 73 l. 21 l’église qui l’église de Dieu qui 81 l. 2 ab imo comme par Celui qui, médiateur par Celui qui, comme médiateur 85 l. 9 Contre Jésus Contre notre Jésus 95 § 40, l. 14
étant si minimes mais peu de chose 98 n. 1, l. 3 résurrection, V, 23 résurrection, IV, 57 ; V, 23 103 n. 1, l. 10 l’Ancienne Académie l’Académie 107 § 45, l. 9
demanda et obtint fut loué d’avoir demandé 108 Apparat scipturaire, § 45,d I Rois (III Rois) 5, 10-14 I Rois (III Rois) 5, 9-14 115 l. 1 l’invisible l’intelligible 116 Apparat scipturaire, § 48,b Tite 1, 9-11 Tite 1, 6-11 123 l. 12 de fautes secrètes d’actions blâmables 124 § 53, l. 2
« Ἕλλησι Ἕλλησι 141 l. 8 ab imo la guérison de leurs âmes et l’appel la guérison et l’appel 150 Apparat critique, § 65, 17 έπογόνως βεϐαμένοι A1 έπομόνως βεϐαμμένοι mg A1 155 § 68, l. 10
qu’ils qu’elles 160 n. 1, l. 6 Strom. I, 17, 66, 3 Strom. I, 17, 86, 3 162 Apparat critique, § 72, 11 τοῦ ὑπέρ ὑπέρ τοῦ 163 l. 7 l’âme leur âme 163 l. 8 l’oubli le pardon 168 § 75, l. 8
ἀποτρέπομεν οὓς ἀποτρέπομεν, οὓς 169 l. 5 ab imo perte celui perte dans l’argument celui 170 l. 27 ἀπαλλάσσοντες ἀπαλλάσσομεν 170 l. 46 Χριστιανοὶ Χριστιανίζοντες 171 l. 8-9 un acte de piété de préparer et de guérir rendre pieux et guérir 171 l. 10 et en libérant et libérer 182 n. 1, l. 4 peut-être être peut-être 186 § 1, l. 7
καθέστακά κατέστακά 188 Marge gauche Erreur de numérotation des lignes. 190 § 3, l. 6
μὲν τὰ μὲν <τὸ> τὰ 191 § 3, l. 7
convertir « les brebis convertir ce que l’Évangile appelle « les brebis 207 l. 7 ab imo « Il l’a dit » que de toute autre raison2. « Il l’a dit » à propos de Jésus plus que de tout autre2. 219 l. 2 ab imo seraient-elles seraient-ils 221 l. 10 Logos Logose 15, e. Jn 1,14 221 l. 7 ab imo différente autre 224 n. 1, l. 5 Strom. I, 23, 160-163 Strom. I, 23, 160-163 233 § 21, l. 2
Tour de Babel comparable Tour comparable 237 l. 9 leur péché leurs péchés 243 l. 10 et l. 18 vers ver 245 l. 8 ab imo du Logos de la raison 247 l. 10 ab imo on compare on les compare 251 l. 8 ab imo nousf nous Corriger de même dans le texte grec. 251 l. 5 ab imo mourir mourirf Corriger de même dans le texte grec. 251 Apparat scipturaire, § 28,b Sag. 11, 26 - 12, 1-2 Sag. 11, 26 - 12, 2 251 Apparat scipturaire, § 28,e I Jn 2, 8 I Jn 2, 2 256 n. 1 Phéniciennes, 545 Phéniciennes, 546 257 l. 18 injustes injustesd’ 30, d’. Sag. 16, 24. 271 l. 25 connaissance connaissancea 35, a. Os. 10, 12. 275 l. 2 Palestine2, n’ayant Palestine2, et tout à fait incultes n’ayant 275 l. 14 montre la précision montre clairement la précision 276 Apparat scipturaire, § 37 Ex. 19, 4 Ex. 19, 4 s. 277 l. 3 composé les deux composé deux 287 l. 16 et à les dire et les dire 287 l. 17 de leur auteur donnée par leur auteur 288 § 40, l. 11
Ἑλλάδα ἑλλάδα 297 l. 3 donnée qui donnée à Celui qui 300 l. 32 Στῶϊκῶν Στωϊκῶν 305 § 47, l. 2
il Celse 305 l. 6 ab imo absurde absurde 307 l. 3 ab imo hommes hommes2 2. Cf. HOMÈRE, Il. V, 544 s.
309 n. 2, l. 3 CLÉM. ROM., h.
Clement. hom. 314 Apparat scipturaire, § 50,d-e d. Éz. 19, 3
e.Os. 14, 9d. Éz. 29, 2
e. Os. 14, 10315 l. 9 ab imo espèce. espèce1. 1. Cf. PLATON, Rép. 379 c-d. 318 n. 2, l. 1 Didask. 8 Didask. 16, 23 319 l. 16-17 de Papiscos et de Jason de Jason et de Papiscos 341 l. 8 un seul traité ce seul traité 351 l. 9 Aéropage Aréopage 357 n. 2, l. 1 CGS 8 CGS 7 359 § 71, l. 4
Dieu Dieu 387 n. 2, l. 1 et l. 2 SVF SVF 393 l. 14 à l’image de Dieu à li’mage de Dieua 83, a. Gen. 1, 26-27 394 n. 1, l. 2 (= SVF III, 477). (= SVF III, 477) et supra I, 33, 4. 401 Titre V, 87 IV, 87 415 Dernière ligne malice2 malice3 430 Apparat critique, § 99 6 ἀλλά ἀλλά 431 l. 2 Phénix phénix 434 n. 1 coàversion conversion
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