• SC 147

    Origène

    Contre Celse, tome III
    Livres V et VI

    décembre 1969

    Introduction, texte critique, traduction et notes par Marcel Borret, s.j.

    Ouvrage publié avec le concours du Centre National de la Recherche Scientifique.
    ISBN : 9782204034227
    386 pages
    Un philosophe païen défie le christianisme ? La réponse d'Origène au milieu du 3e siècle.

    Présentation

    Le Contre Celse, composé en 248, est la dernière des œuvres d’Origène. Il nous livre l’ultime expression de sa pensée et comme son testament. L’ouvrage, qui comprend huit livres, est une longue réfutation du Discours véritable, rédigé probablement vers la fin du IIe siècle par Celse, un philosophe païen, pour « diffamer le christianisme ». Le traité de Celse n’est plus connu aujourd’hui qu’à travers les larges extraits conservés dans la réfutation qu’en fit Origène et présentés selon un ordre qui lui est propre : les essais de reconstruction du Discours véritable comportent donc toujours une part d’incertitude.

    Aux yeux de Celse, une religion révélée n’avait aucun sens et ne se maintenait que par l’imposture. Piqué au vif dans sa foi, Origène répond. Toutes les ressources de son érudition et de sa réflexion ne sont pas de trop pour réduire un adversaire qui recourt aux arguments les plus divers et se place même délibérément, à maintes reprises, sur le plan de la philosophie. En réfutant le Discours véritable de Celse, Origène propose en réalité une apologie monumentale du christianisme, qui garde encore aujourd’hui sa valeur et sa force. Les points d’affrontement entre la culture gréco-romaine et la religion chrétienne y sont clairement marqués. Si la forme en est polémique, l’œuvre entière n’en est pas moins une magnifique profession de foi.

    Spécialiste d’Origène, Marcel Borret, s.j., a édité l’ensemble du Contre Celse dans la collection Sources Chrétiennes. Son édition a profité des leçons nouvelles du Papyrus de Toura et marque un progrès sensible par rapport à celle du Corpus de Berlin (1899). Seul ou en collaboration, M. Borret a édité dans la Collection plusieurs autres traités d’Origène (SC 286-287, 321, 352, 375-376, 389).

    Le mot des Sources Chrétiennes

    Le Contre Celse est un ouvrage de commande, imposé à Origène par son exigeant mécène et ami, Ambroise, un notable fortuné d'Alexandrie, qui souhaitait une réponse vigoureuse au pamphlet du philosophe païen. La longue réfutation par Origène du Discours véritable de Celse est la dernière en date de ses œuvres (248) et comme une manière de testament spirituel du grand Alexandrin : le croyant avec la richesse de sa foi, et le savant avec sa culture philosophique et sa connaissance de l'Écriture. Elle constitue une apologie monumentale de la religion chrétienne dont Celse, comme le firent à leur tour Porphyre et l'empereur Julien, prétendait prouver l'infériorité sur la philosophie grecque et la sottise. Même si Origène déclare, dans la préface de l'ouvrage, que « ce livre n'est pas du tout écrit pour des fidèles, mais soit pour ceux qui n'ont aucune expérience de la foi au Christ, soit pour ceux qui, au dire de l'Apôtre, sont faibles dans la foi (cf. Rm 14, 1) », le croyant lui-même sera impressionné par la force qu'y ont la réfutation des accusations de Celse et la démonstration touchant les vérités du christianisme.

    Jean-Noël Guinot

    Œuvre(s) contenue(s) dans ce volume

    Le Contre Celse est la grande œuvre apologétique d’Origène, écrite à la fin de sa vie, achevée probablement en 258, deux années avant le déclenchement de la persécution de Dèce qui lui coûtera la vie. Origène réfute longuement, en 8 livres, le Discours véritable de Celse, un philosophe païen qui avait écrit cet essai vers 180 pour attaquer la tradition judéo-chrétienne au nom de la raison grecque. Son œuvre, perdue, est connue seulement par les nombreux extraits qu’en cite Origène. C’est pour ce dernier l’occasion, dans le sillage des apologies du 2e siècle, de poursuivre deux buts en même temps : réfuter les arguments antibibliques et antichrétiens de Celse, et prouver la vérité et l’ancienneté du christianisme. Ce faisant, Origène cite nombre d’auteurs païens perdus dont il nous sauve bien des extraits, en plus de ceux de Celse. Entre les Stromates de Clément et les Préparation et Démonstration évangélique d’Eusèbe, son œuvre s’inscrit dans ces monuments témoins d’un dialogue critique constant entre la culture gréco-romaine, le judaïsme et le christianisme.

    Le texte grec du Contre Celse figure en entier dans 18 manuscrits et en partie dans 7 autres. Un papyrus de Toura du 7e siècle contient des extraits des livres I et II. Les manuscrits de la tradition directe, relativement récents, dépendent tous d’un manuscrit conservé du 13e siècle. Des extraits de l’œuvre se trouvent dans la Philocalie faite au 4e siècle par les Cappadociens.

    Contenu

    Livre V. En refusant la descente d’un Dieu sur terre, Celse sape beaucoup de mythes païens ; les anges ; pour les juifs, le ciel n’est pas dieu ; juifs et chrétiens ne rendent de culte à aucun astre, ni aux anges, mais le Logos divin vient à nous dans le Christ ; les temps derniers dans la doctrine chrétienne, la résurrection ; les peuples de la terre : répartition, coutumes, dispersion après Babel ; le peuple réservé au Seigneur ; la part du Christ venue des nations, affranchie de toute puissance tutélaire ; personne n’est assujetti aux traditions et aux dieux d’un peuple ; loi naturelle de Dieu et lois des humains ; extravagance de bien des religions ; les traditions juives supérieures à celles des païens ; sens des lois des juifs, de leur élection ; les anges dans la Bible : réponses aux attaques de Celse ; divergences entre chrétiens et juifs sur les écritures ; sectes gnostiques et mensonges de Celse.

    Livre VI. Simplicité du langage de l’écriture ; elle a parlé sur le souverain Bien aussi bien que Platon, ses auteurs savaient mieux que lui ce qu’on pouvait en dire ; convergences là-dessus de Platon et de l’écriture ; sagesse divine et sagesse humaine selon Platon et l’écriture ; humilité et pauvreté du vrai sage ; Platon a emprunté aux prophètes, plus anciens que lui ; mystères mithriaques et initiation chrétienne ; le Dieu chrétien n’est pas le démiurge gnostique mais il est bien le Dieu des juifs ; railleries de Celse sur la résurrection et quelques symboles bibliques, racontars courants sur les chrétiens ; doctrine biblique sur Satan, l’Antéchrist, le Fils de Dieu et Jésus, l’origine du monde ; Marcion et la question du mal ; la création dans la Bible : interprétation ; la connaissance de Dieu ; comment Dieu est esprit ; pourquoi l’Incarnation telle qu’elle a eu lieu.

    Extrait(s)

    Contre Celse VI, 4 (p. 185-187)

    Ceux qui ont si bien écrit sur le Souverain Bien descendent au Pirée pour prier Artémis comme une déesse, et pour voir la fête publique célébrée par les simples. Après avoir enseigné cette profonde philosophie sur l’âme et décrit en détail l’état futur de celle dont la vie fut vertueuse, ils abandonnent ces idées sublimes que Dieu leur a manifestées pour songer à des choses vulgaires et basses et sacrifier un coq à Asclépios. Ils s’étaient représenté les œuvres invisibles de Dieu et les idées à partir de la création du monde et des choses sensibles, d’où ils s’étaient élevés aux réalités intelligibles : ils avaient vu, non sans noblesse, son éternelle puissance et sa divinité ; néanmoins ils ont perdu le sens dans leurs raisonnements, et leur cœur inintelligent se traîne pour ainsi dire dans l’ignorance au sujet du culte de Dieu. (…) Aussi, parce que les sages et les savants de la Grèce se fourvoyaient dans leurs pratiques religieuses, Dieu a choisi ce qu’il y a de fou dans le monde pour confondre les sages… (1 Co 1, 27).

    Errata

    Page

    Localisation

    Texte concerné

    Correction

    Remarques

    29

    § 7 l. 22

    les animaux sur la terre

    les animaux et les plantes sur la terre

     

    31

    § 7 l. 9

    de certains

    des Grecs

     

    37

    § 10 l. 10-11

    pour que vous deveniez le peuple de son héritage, comme vous l’êtes encore aujourd’hui

    pour être le peuple de son héritage, comme aujourd’hui

     

    53

    § 15 l. 1

    malice

    matière

     

    53

    § 15 l. 3

    les âmes mélangées

    ceux qui sont mélangés

     

    55

    § 16 l. 21

    jusqu’a un certain terme

    en vue d’une fin donnée

     

    57

    § 17 l. 7

    savoir

    prendre garde à

     

    59

    § 18 l. 6

    la même chair

    leur chair

     

    61

    § 19 l. 8

    nous porterons

    portons

     

    61

    § 19 l. 9

    caché le sens mystérieux du passage

    cachés les mystères

     

    73

    § 24 l. 32

    soigneusement

    autant que possible

     

    91

    § 30 l. 9

    bitume,

    bitume, et les a employé pour bâtir,

     

    107

    § 35 l. 15

    Le Logos

    La raison

     

    109

    § 35 l. 7

    par le Logos

    par la raison

     

    113

    § 37 l. 23

    à la manière éthiopienne

    comme les Ethiopiens

     

    136

    n. 1 l. 8

    Strom. VI, 2

    Strom. VI, 2, 24, 10

     

    136

    n. 1 l. 19

    Rép.

    Rép. 580 d - 581 e ;

     

    145

    § 51 l. 10

    Sauveur lui-même

    Sauveur Jésus lui-même

     

    151

    § 54 l. 15

    au nom de Jésus

    le nom de Jésus

     

    151

    § 54 l. 20

    Apelles

    Apelle

     

    151

    n. 1 l. 3

    supra 53.

    supra 53, 24.

     

    151

    n. 1 l. 5

    VII, 48

    VII, 42

     

    153

    § 55 l. 28

    se sont convertis

    se convertissent

     

    171

    § 63 l. 6

    les thyases d’Egypte

    les thyases d’Antinoos d’Egypte

     

    187

    § 4 l. 12

    dans l’ignorance

    dans l’obscurité et l’ignorance

     

    199

    § 9 l. 11

    offre

    offrira

     

    199

    § 9 l. 12

    que ce qui en a été dit

    quand je l’aurai fait

     

    201

    § 9 l. 13-14

    le Christ, d’après nous sagesse qui réside dans ceux qui sont parfaits

    le Christ, sagesse qui réside dans ceux qui, selon nous, sont parfaits

     

    207

    § 11 l. 19

    asez

    assez

     

    211

    § 13 l. 25

    pitié

    piété

     

    225

    n. 2

    folie. un labeur

    folie, un labeur

     

    227

    § 19 l. 20-21

    les maximes du Phèdre

    les maximes du Phèdre

     

    231

    § 20 l. 2

    mais nous nous appliquerons

    mais sans cesse nous nous appliquerons

     

    231

    § 21 l. 14

    Celse, après Platon,

    Celse dit que, d’après Platon,

     

    253

    § 29 l. 5

    la même chair et le même sang

    leur chair et leur sang

     

    269

    § 37 l. 27

    consacré leur vie

    consacré toute leur vie

     

    273

    n. 2

    θαγιμασάδας

    Θαγιμασάδας

     

    277

    § 41 l. 22

    le Dieu suprème selon

    le Dieu suprême par Jésus, selon

     

    281

    § 42 l. 6

    possèderait

    posséderait

     

    291

    § 45 l. 4

    Parousie

    venue

     

    299

    n. 4

    οἰ Στοïκοὶ

    οἰ Στωïκοὶ

     

    305

    § 50 l. 18

    dans son ignorance

    dans l’ignorance totale

     

    341

    § 64 l. 1-2

    surtout sur l’essence proprement dite, permanente

    surtout s’il s’agit de l’essence proprement dite qui est permanente

     

    341

    § 64 l. 7

    et son Logos

    et par son Logos

     

    343

    § 65 l. 2

    au logos

    par le logos

     

    343

    § 65 l. 4

    au logos

    par le logos

     

    343

    § 65 l. 7

    à ce Logos

    par ce Logos

     

    343

    § 65 l. 10

    Dieu est accessible au logos

    Dieu est accessible par le logos

     

    344

    § 66 l. 7

    σκότον τῶν ὀφθαλμῶν

    σκότον τῶν ὀφθαλμῶν

     

    359

    n. 1 l. 3

    au monde

    du monde

     

    367

    § 75 l. 1

    l’esprit divin était un corps

    l’esprit divin était dans un corps

     

    369

    n. 1

    Paed. III, 2, 1.

    Paed. III, 3, 3.

     

    369

    n. 2

    Cf. I, 55.

    Cf. I, 56.

     

    383

    § 80 l. 3

    la totalité soit entrée

    la totalité des païens soit entrée

     

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