• SC 415

    Origène

    Homélies sur les Nombres (I-X), tome I

    avril 1996

    Nouvelle édition par Louis Doutreleau, s.j., d'après l'édition d'André Méhat et les notes de Marcel Borret, s.j. (†).

    ISBN : 9782204053372
    327 pages
    L'Ancien Testament devient « nouveau » lorsqu'on entend prêcher l'Alexandrin !

    Présentation

    Remplace : SC 29 – Origène, Homélies sur les Nombres

    Voilà plus de quarante ans que ces homélies avaient paru – sur le papier médiocre de l’époque, dépourvues de leur texte original, sans apparat critique, sans index ; c’était pourtant une traduction qui révélait un Origène savoureux et peu connu. Nous devions donc songer à une édition nouvelle, qui répondît aux exigences confirmées des Sources Chrétiennes. Des circonstances diverses, et parmi elles la mort subite d’un de nos collaborateurs, ont retardé la réfection.

    Dans ce volume, qui est le premier des trois à venir, on a donc inséré le texte latin, qui manquait à l’édition de 1951. Chacun pourra maintenant se reporter au texte de Rufin, traducteur latin d’Origène grec. Cette traduction, par son opportunité, a défié l’usure des siècles, au point que c’est elle seule qui témoigne aujourd’hui de l’œuvre d’Origène. La traduction française qui l’accompagne a été entièrement révisée et doit satisfaire l’exigence des érudits et le goût des lecteurs cultivés. Des notes savantes et d’autres qui le sont moins brochent sur plusieurs notes conservées de l’ancienne édition.

    L’exégète que fut Origène pour son époque, la maîtrise spirituelle dont il fit preuve, comme par instinct, au cours de ces conversations libres que sont les homélies, apparaissent ici en pleine lumière. Le texte du Livre des Nombres est aride, les prescriptions enjointes aux Hébreux n’ont rien d’actuel, mais la réflexion d’Origène atteint l’âme humaine dans sa contexture profonde et touche déjà, en traitant de l’œuvre divine, à des problèmes de réflexion théologique qui reviendront plus tard. Origène est, au bon sens du mot, un visionnaire : il voit en avant, il décèle l’âme du monde dans celle des hommes et, sans grandiloquence, il en situe l’avenir, le mystérieux avenir, en Dieu.

    Le mot du directeur de Collection

    A première vue, le livre des Nombres paraît moins propre que celui du Cantique à nourrir la vie spirituelle. Mais c'est compter sans le talent et la science de l'Écriture d'Origène, qui sait lire, dans ces récits et ces textes législatifs le plus souvent bien éloignés de nos préoccupations, l'action de Dieu à l'œuvre dans les événements et la vie des hommes. Attentif comme toujours à la lettre du texte pour mieux en découvrir l'esprit, grâce à la méthode allégorique, Origène propose là, tour à tour, à son auditoire de Césarée de Palestine, une application morale, théologique ou mystique du passage des Nombres qui vient d'être lu devant l'assemblée. Il suffirait pour s'en convaincre de relire, par exemple, son interprétation symbolique du bâton d'Aaron qui reverdit et porte du fruit (Homélie IX), destinée à connaître une grande fortune, tant dans l'exégèse postérieure que dans les représentations picturales. Tout lecteur, un peu familier d'Origène, connaît l'interprétation qu'il donne des « noix », l'un des fruits de ce bâton : avec leur triple enveloppe, elles symbolisent les trois sens de l'Écriture, les trois étapes qu'il faut parcourir avant d'atteindre le mystère qu'elle recèle, comme la noix son fruit. Et, si l'épouse du Cantique descend au jardin des noix, n'est-ce pas, semble dire Origène, une invitation à suivre son exemple à la rencontre du Bien-aimé ? L'itinéraire proposé par l'Alexandrin est déjà celui que recommanderont plus tard Bernard de Clairvaux et Hugues de Balma.

    Cette édition des Homélies sur les Nombres d'Origène, que nous devons au Père Louis Doutreleau, est destinée à remplacer celle, épuisée, qu'avait donnée André Méhat, dans les premières années de la Collection (SC 29). Alors il n'avait pas été possible de placer en regard de la traduction française le texte latin de Rufin qui nous transmet ces homélies. Le Père Marcel Borret, avec l'accord de l'auteur, avait commencé à reprendre ce travail, mais la mort l'empêcha brusquement de le conduire à son terme. Le P. Doutreleau a donc repris le flambeau, et si André Méhat nous quittait presqu'à la date où ce premier tome sortait des presses, il aura eu la joie de le relire en épreuves. Deux autres tomes seront nécessaires pour achever cette nouvelle édition.

    Jean-Noël Guinot

    Œuvre(s) contenue(s) dans ce volume

    Nous avons d’Origène, dans la traduction latine de Rufin, 28 homélies sur le livre des Nombres. C’est à Césarée qu’Origène a composé ces textes, donc dans la seconde partie de sa vie, après 230.

    Le texte latin des Homélies sur les Nombres est transmis dans une quarantaine de manuscrits, qui semblent tous avoir pour origine une copie de Cassiodore. L’éditeur Baehrens avait reconstitué comme suit l’aventure de ces homélies traduites en latin (avec toutes celles sur le Pentateuque, hormis le Deutéronome) : Ursace, le mécène pour qui Rufin faisait ces traductions, a fait passer ses manuscrits à l’évêque Paulin de Nole ; les textes ont ensuite été récupérés par Eugippius, abbé d’un monastère près de Naples, qui les a prêtés à son ami Cassiodore qui en prit copie. Rufin a traduit ces homélies à Rome puis en Sicile en 410, peu avant de mourir. Il semble que la division en 28 homélies soit de lui, et qu’il ait récupéré, comme il le dit dans sa lettre-préface à Ursace, tout ce qu’il avait pu de matériau origénien sur les Nombres (homélies, scolies, commentaires ?), pour essayer de donner une explication continue – non sans lacunes cependant – du livre biblique. L’homélie 27, par exemple, très longue, n’a pas pu avoir primitivement cette forme.

    Homélies 1-10 sur les Nombres

    Le premier volume contient les homélies 1 à 10 : l’Hom. 1 (sur Nb 1) réfléchit sur le « nombre de Dieu » et les conditions spirituelles pour en faire partie en obéissant à la loi spirituelle. L’Hom. 2 (Nb 2) réfléchit sur ce qu’est cet « ordre » selon lequel chacun doit marcher dans le camp (Nb 2, 2) : il y a un ordre de l’âme, mais Origène en profite aussi pour réfléchir sur ceux qui sont ordonnés dans l’église et sur la façon dont chacun exerce son ministère ; en même temps est examiné le « signe » (enseigne/étendard dans le texte biblique) qui dessine le caractère de chacun, dans une diversité unifiée par l’Esprit. L’Hom. 3 (Nb 3, 5-39) interprète les « premiers-nés » dans un sens moral puis spirituel où « l’église des premiers-nés » représente le dernier degré de l’ascension spirituelle. Mais il y a aussi des premiers-nés chez les démons ! L’hom. 4 (Nb 3, 39 - 4, 20) propose une lecture des nombres 22 (ancêtres de Jacob, lettres de l’alphabet) et 273 (jours d’une grossesse) trouvés dans le texte biblique ; les 4 divisions du recensement lévite correspondent aux étapes de la vie spirituelle vues dans l’hom. précédente. Nouvelles considérations sur le sacerdoce. L’Hom. 5 (Nb 4, 18-49), à propos des fonctions des lévites, parle des prêtres chrétiens et de tout croyant, chacun ayant ses « œuvres » à accomplir. L’Hom. 6 (Nb 11, 7-25 ; 12, 1-15) s’intéresse à Moïse et aux 70 anciens pour montrer notamment que l’Esprit de Dieu peut habiter dans un homme pécheur, mais pas quand il est soumis à l’esprit de péché : il n’y a que dans le Christ qu’il habite constamment. L’Hom. 7 (Nb 12, 1-15 ; 13, 18-34 ; 14, 1-8) revient sur l’histoire de l’éthiopienne et de la lèpre de Marie, sœur de Moïse, déjà abordée dans l’hom. précédente, et montre que ceux qui ont dans l’âme une lèpre spirituelle sont ceux qui refusent de s’ouvrir au sens spirituel de l’écriture ; l’homélie parle ensuite du sens de « l’avorton » (Nb 12, 12) puis des espions envoyés en Nb 13, 2 pour chasser les démons de la Terre promise. L’Hom. 8 (Nb 13, 18-34 ; 14, 1-38) interprète la sédition du peuple et la colère de Dieu comme l’annonce du transfert d’alliance et s’interroge sur la durée du châtiment et la guérison des blessures de l’âme. L’Hom. 9 (Nb 17), plus longue que les autres, explique la sédition de Coré : l’affaire des braseros invite à faire le tri dans ce que les hérétiques tirent des écritures ; la sédition où Moïse et Aaron ont failli être lapidés fait parler des persécutions ; l’intercession met déjà en œuvre l’évangile, tandis que le fléau rappelle la menace du châtiment ; le bâton d’Aaron qui porte des noix permet à Origène de parler du triple sens de l’écriture. L’Hom. 10 (Nb 18, 1-7) explique les « péchés des saints » en montrant que péché et sainteté peuvent coexister dans l’être humain et rappelle le pouvoir d’intercession des prêtres et des martyrs.

    Extrait(s)

    Hom. 7, 2, 3 (SC 415, p. 175)

    Quand Moïse a-t-il vu la gloire du Seigneur (Nb 12, 8) ? Je dis que c’est lorsque le Seigneur a été transfiguré sur la montagne et qu’il y avait près de lui Moïse et Élie qui s’entretenaient avec lui (Mt 17, 3) ? C’est pourquoi Dieu peut justement ajouter dans la suite : Pourquoi donc n’avez-vous pas craint de vous en prendre à mon serviteur Moïse ? (Nb 12, 8) Cette parole s’adresse évidemment à ceux qui semblent d’un côté recevoir les évangiles, mais de l’autre dénigrent Moïse. Ils méritent bien ces reproches, car sachant par l’évangile que Moïse a vu en même temps qu’Élie la gloire du Seigneur, ils ont osé dénigrer la loi et les prophètes. Pour nous, ne soyons pas des détracteurs de la loi de Moïse, ne dénigrons pas la loi, ne nous contentons pas d’être des auditeurs de la loi mais pratiquons-la et méritons ainsi, avec Moïse lui-même, de participer à la glorification.

    Les noix : les trois sens de l’Écriture (p. 253-255)

    Mais quel fruit a-t-il porté ? « Des noix », dit l’Écriture. C’est un fruit dont la première enveloppe est amère ; il est protégé, défendu par la seconde ; il est mangeable et nourrissant sous la troisième. Telle apparaît à l’école du Christ la doctrine de la Loi et des Prophètes. Le premier aspect, celui de la lettre, est assez amer : il prescrit la circoncision de la chair, règle les sacrifices et tout ce qui est désigné par « la lettre qui tue ». Rejette tout cela comme l’écorce amère de la noix. En second lieu, tu arriveras aux défenses de la coque, qui désignent l’enseignement moral ou les règles de la maîtrise de soi. Ces défenses sont nécessaires pour protéger ce qui est conservé à l’intérieur ; cependant, un jour, elles devront être brisées et, sans aucun doute, disparaître. (…) En troisième lieu, à l’intérieur de ces enveloppes, tu trouveras, enfermé et caché, le sens des mystères « de la sagesse et de la science de Dieu », qui nourrissent et rassasient les âmes des saints non seulement dans la vie présente mais aussi dans la vie future. Tel est le fruit pontifical, « dont se rassasieront », suivant la promesse, « ceux qui ont faim et soif de la justice ».

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