• SC 461

    Origène

    Homélies sur les Nombres, III
    Homélies XX-XXVIII

    avril 2001

    Texte latin de W.A. Baehrens (GCS). — Nouvelle édition par Louis Doutreleau, s.j.

    Révision assurée par Louis Doutreleau.
    ISBN : 978-2-204-06708-9
    396 pages
    L'Ancien Testament devient « nouveau » lorsqu'on entend prêcher l'Alexandrin !

    Présentation

    Remplace : SC 29 – Origène, Homélies sur les Nombres

    Le contenu des homélies ne se laisse pas réduire à l'unité, car c'est la diversité des ordonnances de la Loi et des événements rapportés dans les derniers chapitres (26-36) du Livre des Nombres qui s'est imposée à Origène. Les titres des 9 homélies de ce livre ne prétendent pas résumer tous les sujets auxquels touche Origène. Ces titres sont tardifs, dépendent de la tradition manuscrite latine et s'en tiennent tant bien que mal à une idée générale de l'homélie ou du moins au souvenir qu'en a gardé un lecteur hâtif.

    Nous relèverions : — comme plus attractive, l'Homélie XXI sur le second dénombrement et son développement sur le salut d'un petit nombre ; — comme plus instructive, l'Homélie XXIII sur les fêtes et leur accomplissement dans l'autre monde ; — comme plus intérieure, l'Homélie XXV sur la qualité de combattant guerrier et de combattant spirituel ; — comme plus incitative à la perfection de soi-même, l'Homélie XXVII, la plus longue et la plus étonnante de toutes. De cette dernière, nous tirons, en conclusion, l'image fourmillante de la ruche. La ruche contient l'ensemble des Livres sacrés. De l'abeille qui travaille et produit le miel au sein de la ruche, il est dit qu'elle entretient la santé des rois et des petites gens. Entrés avec Origène au sein de la ruche, pouvez-vous, lecteurs, ne pas profiter de la santé que vous promettent les homélies de ce Livre ?

    Louis Doutreleau, s.j., a édité, seul ou en collaboration, de nombreux ouvrages dans la collection « Sources Chrétiennes ».

    Le mot du directeur de Collection

    Une autre publication de longue haleine vient de s'achever, celle des Homélies sur les Nombres d'Origène (SC 461). Comme les deux précédents (SC 415 et 442), ce troisième et dernier volume a été préparé par le Père Louis Doutreleau de l'Institut des Sources Chrétiennes. Il contient les neuf dernières homélies (Hom. 20 à 28) prêchées par l'Alexandrin sur un texte biblique dont le contenu se prête rarement à un enseignement moral ou spirituel immédiat. Origène doit pour y parvenir déployer une grande ingéniosité et recourir très largement à l'interprétation allégorique. Non qu'il néglige le sens littéral des divers épisodes qu'il lui faut commenter ni celui de règlements et de prescriptions rituelles sans doute un peu fastidieux pour son auditoire. Bien au contraire, il essaye toujours d'en faire valoir l'intérêt, soit que le sens littéral offre déjà une leçon morale, qu'il ait une valeur documentaire ou qu'il permette d'établir l'influence de la législation de l'Ancien Testament sur le droit universel. Mais le véritable intérêt du texte pour Origène se situe toujours au-delà. Aussi a-t-on le plus souvent l'impression qu'il s'astreint, parce qu'il le faut, à commenter le sens obvie :

    « Il y a bien là, au point de vue du sens intérieur, des mystères et des choses cachées, mais nous devons d'abord tirer édification du texte même de l'histoire » (Hom. XX, 1, 5).

    Et le voilà amené à montrer que l'histoire d'Israël enseigne comment, en cédant aux attraits de la volupté et à la séduction des femmes madianites, le peuple est passé de la débauche à l'impiété, puis à l'idolâtrie en adorant Béelphégor. On ne s'armera donc jamais assez de la vertu ! Mais de la débauche matérielle, Origène passe vite à la prostitution spirituelle, et l'homélie devient alors une réflexion librement conduite sur le péché par lequel l'âme de l'homme se prive, librement, de l'union spirituelle avec le Christ. De même, le second dénombrement du peuple, en Nombres 26, a pour lui un sens caché :

    « Mais ne va pas croire que tout se borne exclusivement au texte de l'histoire. Ce sont des mystères qui sont consignés sous l'image de la loi. Un premier peuple est rejeté, c'est celui de la circoncision ; un second est introduit, il est issu des Nations où il se rassemble, et c'est à lui que revient l'héritage paternel. Et de qui le tient-il ? Pas de Moïse, mais de Jésus » (Hom. XXI, 1, 2).

    Et il en va ainsi d'homélie en homélie, Origène ne cesse de chercher sous la lettre du texte un sens plus profond, capable de devenir pour son auditoire nourriture spirituelle :

    « Mais ce que nous venons de dire a pour but de porter l'esprit des auditeurs à prêter une attention plus vive à la lecture et à la parole et, dans le cas des écrits de Moïse, de comprendre, après avoir écarté le voile de la lettre, le sens de ce qui est dit. Il faudrait qu'en chacun des passages, dès lors qu'il serait compris et observé, les auditeurs puissent trouver de quoi être emmenés, non pas 'au lieu des tourments' où a été précipité le riche dédaigneux d'écouter les secrets de l'Écriture, mais dans 'le sein d'Abraham' où repose Lazare. Prions donc le Seigneur d'ôter de nos cœurs le voile qui les recouvre à la lecture de l'Ancien Testament, afin que nous puissions découvrir ce qui est caché et secret dans les Livres de Moïse » (Hom. XXVI, 3, 4).

    On ne résume pas une homélie d'Origène, et chacune contient un enseignement propre. Ce sont, comme dans une symphonie, le retour et l'entrecroisement des thèmes, la reprise des mêmes motifs avec des variations qui donnent son unité à l'ensemble. A l'image des quarante-deux étapes parcourues par les fils d'Israël dans le désert, dont Origène s'efforce de dégager le véritable sens, son exégèse, qui semble parfois entraîner bien loin du sens premier du texte, cherche avant tout à tracer au chrétien un itinéraire spirituel, à le guider vers la Terre Promise :

    « Tout ce parcours et cette hâte ont pour but d'arriver au Fleuve de Dieu, de nous approcher des courants de la sagesse, d'être inondés des eaux de la Science divine et, ainsi purifiés de tout, de mériter d'entrer dans la Terre Promise » (Hom. XXVII, 12, 13).

    En 1941, le Père L. Doutreleau achevait sa première traduction des Homélies sur la Genèse d'Origène (SC 7 bis) ; soixante ans plus tard, il nous procure ce troisième volume des Homélies sur les Nombres. Entre temps, il a ardemment travaillé à faire connaître non seulement Origène, mais aussi Didyme, Irénée de Lyon et quelques autres... En cette date anniversaire, nous tenons à lui exprimer, en notre nom et au nom de toute la communauté scientifique, notre profonde et affectueuse gratitude.

    Jean-Noël Guinot

    Œuvre(s) contenue(s) dans ce volume

    Ce troisième et dernier tome contient les homélies 20 à 28. L’Hom. 20 (sur Nb 25, 1-11) est une réflexion sur le péché à partir de la conduite d’Israël à Sattim. Comment résister aux tentations ; la fornication spirituelle ; les viandes païennes, symbole des philosophies païennes : ne pas scandaliser. Entraînement au mal et liberté humaine ; rôle des anges (gardiens) et du Fils unique. L’Hom. 21 (Nb 26) commente le second dénombrement. Le partage de la terre est le symbole de la rétribution finale ; les lévites ne sont pas dans le partage, ils sont à part, leur part, c’est Dieu même, ce sont les croyants qui ont dépassé le sensible ; éloge du petit nombre dont l’héritage est infini, mais le grand nombre n’est pas déprécié. L’Hom. 22 (Nb 27) s’intéresse aux 5 filles de Salphaat (les 5 sens corporels), puis à la mort de Moïse, qui a assuré sa succession sans prétention dynastique pour sa famille ; la fin de Moïse est le terme de la loi, c’est-à-dire le Christ, par qui nous entrons dans la terre promise. L’Hom. 23 (Nb 28-29) explique les différents sacrifices demandés par la loi. Que donner à Dieu ? Notre propre conversion, nos progrès spirituels sont une fête pour Dieu. Le sacrifice perpétuel, c’est l’effort incessant vers la perfection ; le sabbat, c’est de ne pas porter le fardeau du péché ; la néoménie, c’est recevoir la lumière du Christ ; la Pâque, c’est manger la Parole ; les azymes, c’est renoncer au ferment de malice pour le ferment de vérité ; les fruits nouveaux, c’est récolter les fruits de l’Esprit si on a semé dans l’Esprit ; le septième mois, c’est la proclamation de l’écriture ; l’expiation, c’est l’âme qui se purifie à la rencontre du Christ ; la fête des tentes, c’est l’arrivée du peuple auprès de Dieu. L’Hom. 24 (Nb 28-30) reprend à partir de Nb 28 la lecture des sacrifices, du sens spirituel de chaque type d’offrande qui correspond à un type de péché. Réflexion sur « l’homme intérieur », sur ce qu’on peut offrir de soi, sur les vœux (nazir…) ; retour sur les anges veilleurs des âmes. L’Hom. 25 (Nb 31) commente la revanche sur les Madianites, explique les rapports de force ; les rois vaincus représentent les vices ; différents types de combat spirituel représentés par les guerriers et le peuple ; sens des chiffres du butin, contrôlés par les anges ; la purification après le combat. L’Hom. 26 (Nb 31-32) développe trois thèmes : être combattant ; pourquoi refuser le sens littéral ; accéder à la terre promise et se la partager. L’Hom. 27 (Nb 33, 1-49), très longue, décrit les étapes des fils d’Israël vers la terre. Après une introduction substantielle, l’homélie reprend les 42 étapes pour en faire une lecture spirituelle, une « montée » vers le ciel où s’achèvera la Pâque hâtivement célébrée au départ. L’Hom. 28 (Nb 34-35) explique les règles du partage de la terre promise après l’arrivée. Les lieux futurs et leurs noms sont examinés, car ils correspondent aux lieux célestes ; faisons confiance à Dieu pour leur répartition, sachant que le meilleur lieu, c’est d’être avec le Christ.

    Extrait(s)

    Hom. 23, 11, 1 (SC 461, p. 141)

    Et maintenant voyons quelle est la dernière fête divine où l’homme fait la joie de Dieu. C’est la Scénopégie (fête des tentes). Dieu a donc sujet de se réjouir de toi quand il te voit en ce monde habiter sous la tente ; quand il te voit sans fixation, sans attachement profond, sans projet d’ici-bas, insensible aux biens terrestres et ne considérant pas l’ombre de cette vie comme un bien propre et durable ; il se réjouit quand il te voit, posé comme en voyage, te hâter vers le paradis, cette vraie patrie d’où tu es sorti, et dire : Je suis un étranger, un voyageur comme tous mes pères (Ps 38, 13). Les pères ont en effet habité sous des tentes et Abraham, avec Isaac et Jacob, cohéritiers de la même promesse, habita des cabanes, ce qui revient à dire des tentes. Quant à toi, puisque tu es un étranger et un voyageur sur la terre, puisque tes pensées ne sont ni fixées ni enracinées dans la convoitise des biens terrestres, puisque tu es prêt à émigrer sans tarder, à te tendre sans arrêt vers ce qui est en avant (Ph 3, 13), jusqu’à ce que tu parviennes au pays où coulent le lait et le miel (Ex 33, 3) et que tu entres en possession de l’héritage des biens à venir, – quant à toi, si Dieu te trouve dans ces dispositions, il se réjouira à ton sujet et célébrera un jour de fête en ton honneur.

    Les étapes de l’âme en exil (p. 287-289)

    Mais quand l’âme quitte l’Égypte de cette vie pour atteindre la Terre Promise, elle doit suivre certains itinéraires et effectuer des étapes, chacune bien déterminée, comme nous avons dit. C’est leur souvenir, je crois, qui faisait dire au prophète : « Je m’en suis souvenu et mon âme s’est épanchée en moi, car je pénétrerai dans le lieu de la Tente admirable jusqu’à la Maison de Dieu ». Ce sont ces étapes et ce sont ces tentes dont il est dit à un autre endroit : « Que tes tentes sont aimables, Seigneur des armées ! Mon âme soupire et languit après les parvis du Seigneur ». C’est pourquoi le même prophète dit encore ailleurs : « II a beaucoup duré l’exil de mon âme ». Comprends donc, si tu peux, ce que sont ces exils de l’âme, quand gémissante et dolente elle déplore de se voir exilée trop longtemps. Le sens spirituel de ces exils s’émousse et s’obscurcit aussi longtemps qu’on reste à marcher en exil. Mais ensuite, l’âme recevra un enseignement plus profond. Elle comprendra mieux la raison de son exil lorsqu’elle sera revenue au lieu de son repos, c’est-à-dire au paradis, sa patrie.

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