• SC 472

    Bernard de Clairvaux

    Sermons sur le Cantique. Tome IV
    (Sermons 51-68)

    ŒUVRES COMPLÈTES XIII
    septembre 2003

    Texte latin des S. Bernardi Opera par J. Leclercq, H. Rochais, Ch.-H. Talbot. — Introduction, traduction et notes par Paul Verdeyen, s.j. et Raffaele Fassetta, o.c.s.o.

    Ouvrage publié avec le concours du Centre National du Livre.
    Révision assurée par Laurence MellerinBernard de Vregille.
    ISBN : 9782204069939
    451 pages
    « Rendre Dieu sensible au cœur » : un chef-d'œuvre spirituel en plus de 80 sermons.

    Présentation

    Œuvre majeure de saint Bernard, les Sermons sur le Cantique développent tous les thèmes de sa doctrine spirituelle et mystique. Par cette œuvre, Bernard a exercé une influence considérable sur les grands auteurs spirituels des siècles à venir (Tauler, Ruusbroec, Ignace de Loyola, Jean de la Croix, François de Sales, etc.).
    Les sermons 51-68 de ce tome 4 de notre édition commentent les versets 2, 5 à 2,16 du Cantique des Cantiques, c'est-à-dire les gâteaux de raisin, les gazelles, les vignes, la colombe cachée au creux du rocher, les petits renards... En 1143 eut lieu à Cologne un procès contre une secte ténébreuse, qui professait plusieurs doctrines manichéennes. Bernard en a été informé par une lettre d'Évervin, que vous trouverez dans ce volume. Il parle dans deux sermons de cette hérésie (65 et 66). En outre, le sermon 67 est central pour la compréhension de l'expérience mystique et de l'extase. Il envisage également les cinq sens d'un point de vue spirituel.

    Paul Verdeyen, jésuite, enseigne à l'Université d'Anvers. Raffaele Fassetta, cistercien, est moine à l'abbaye Notre-Dame de Tamié.

    Le mot du directeur de Collection

    Les Sermons 51-68 de ce tome IV, prêchés puis écrits entre 1139 et 1145, commentent Cantique 2, 5-16, une série de versets dont Bernard, lointain héritier d'Origène (SC 37 bis ; SC 375 et 376) et d'Apponius (SC 420, 421 et 430) à travers Bède le Vénérable et Guillaume de Saint-Thierry (SC 82), dégage à son tour le sens spirituel et moral. « L'amour mutuel des deux amants qui flamboie » dans ce poème (Sermon 67, 8) n'a bien entendu, pour lui non plus, rien de charnel. Comme déjà chez Origène, la bien-aimée représente ici l'Église mais aussi l'âme de chaque chrétien à la rencontre desquelles vient l'Époux, c'est-à-dire le Christ, le Verbe incarné. Il ne s'agit donc pas d'amours profanes et rien n'est ici à entendre au sens littéral. Si l'Époux profère des paroles d'amour et utilise des mots caressants, par exemple celui de colombe, il serait ridicule de prendre le texte à la lettre, de rester pour ainsi dire « à l'extérieur » du texte en s'arrêtant à un sens charnel. Bernard le déclare avec netteté :

    « Lorsque vous pensez aux deux amants, il faut que vous vous représentiez, non pas un homme et une femme, mais le Verbe et l'âme. Si je dis : 'Le Christ et l'Église', c'est la même chose, à ceci près que le nom Église ne désigne pas une seule âme, mais l'unité ou plutôt l'unanimité d'âmes nombreuses. »

    Il en va de même des « montagnes et des collines », de la « gazelle » et du « faon du cerf » auxquels est comparé l'Époux, du « mur », des « fenêtres » et des « fentes » par lesquels il guette sa bien-aimée, de la « vigne » et de ses fleurs, des cavités de la muraille où demeure la « colombe », et des « petits renards » qui ravagent la vigne. Chacun de ces termes est interprété en fonction du symbolisme général qui fonde le sens du Cantique des Cantiques et fait de ce texte l'occasion d'une méditation sur l'Église, sur le mystère de l'Incarnation et sur la rencontre personnelle de chacun avec le Christ. Sans cesse reprise et approfondie, cette méditation est conduite par Bernard avec une grande liberté d'interprétation. Une liberté, qui peut parfois dérouter le lecteur, mais qu'il revendique avec la certitude que le texte de l'Écriture est une nourriture inépuisable pour l'âme du croyant :

    « Je sais bien que j'ai expliqué plus amplement ce passage dans le livre sur l'amour de Dieu, en lui donnant une autre signification ; meilleure ou pire, le lecteur qui voudra bien regarder les deux en jugera. Un homme averti ne me condamnera pas pour la différence de ces interprétations, pourvu que la vérité nous justifie dans les deux cas. Par ailleurs 'la charité', que les Écritures doivent servir, 'édifie' d'autant plus de gens qu'elle aura, à son profit, dégagé des textes un plus grand nombre de significations vraies. Pourquoi nous déplairait dans les interprétations des Écritures ce qui est notre expérience constante dans l'usage des choses matérielles ? Par exemple, combien d'usages différents faisons-nous de l'eau pour nos corps ? De même, n'importe quelle parole divine ne perdra pas son utilité, si elle donne naissance à diverses interprétations, assorties aux nécessités et aux besoins divers des âmes » (Sermon 51, 4).

    Ainsi de sermon en sermon, Bernard, en bon pédagogue de ses moines, rappelle une interprétation précédemment fournie et en propose une nouvelle, en nous donnant au passage des informations précieuses sur la manière dont il travaillait :

    « Sur le même passage commenté dans le sermon d'hier, je vais vous proposer une autre interprétation que j'ai gardée pour le sermon d'aujourd'hui. Examinez vous-mêmes, et choisissez celle qui vous semble préférable. Il n'est pas nécessaire de répéter ce que j'ai déjà dit ; je ne pense pas que cela vous soit sorti de la mémoire en si peu de temps. Pourtant, si besoin est, ce que j'ai dit a été mis par écrit et noté avec le stylet, comme le sont les autres sermons ; vous pourrez ainsi retrouver facilement ce qui a pu vous échapper » (Sermon 54, 1).

    De ce fait, le « mur », les « fenêtres » et les « lucarnes », derrière lesquels l'époux se tient et guette, peuvent s'entendre de l'incarnation du Verbe et de l'humanité qu'il a revêtue, car « il s'est servi des sentiments humains et des sens corporels comme d'ouvertures et de fenêtres pour que, devenu homme, il puisse connaître par expérience les misères des hommes. (...) Dans notre mur délabré et plein de fentes il trouva autant d'ouvertures qu'il fit d'expériences, dans son propre corps, de notre faiblesse et de notre misère » (Sermons 56, 1) ; mais ce « mur » est aussi celui que l'homme pécheur dresse entre lui et l'Époux, en fermant « fenêtres » et « lucarne », pour lui interdire l'accès de son âme. Du sens spirituel et mystique, méditation sur le mystère de l'Incarnation, Bernard passe alors à un sens moral, développé de façon très concrète devant des moines qui savent ce qu'est un scriptorium :

    « Tu dois aussi veiller avec la plus grande attention à ce que l'Époux trouve toujours ouvertes les fenêtres et les lucarnes qui figurent tes confessions, par où il puisse regarder avec bonté ton intérieur ; car son regard fait ton progrès. On dit que les lucarnes sont des fenêtres bien étroites, analogues à celles dont les copistes ont coutume de se servir pour recevoir la lumière sur leurs pages » (Sermon 56, 7).

    De même, la vigne est la figure de l'Église, mais aussi l'âme, dans laquelle on trouve toujours à tailler, et les petits renards qui ravagent les vignes sont à la fois les tentations, « petites bêtes spirituelles futées », qu'il faut dépister et reconnaître pour leur ôter leur capacité à nuire – les reconnaître, c'est les vaincre : « Qui à moins d'être fou, après avoir découvert un piège, y met le pied sciemment et de propos délibéré ? » –, et les hérétiques qui menacent la foi de l'Église. Bernard reprend cette interprétation, traditionnelle depuis Origène, pour dénoncer non seulement les hérésies en général, mais une hérésie apparue à son époque qui s'inspirait de doctrines manichéennes, condamnait le mariage et certains aliments jugés impurs, refusait le baptême des petits enfants, les prières pour les morts et l'intercession des saints (Sermons 65 et 66). Sur cette secte obscure, condamnée à Cologne en 1143, la Lettre d'Evervin à Bernard, publiée dans ce volume, apporte d'utiles éclaircissements. Attentif à défendre l'intégrité de la foi, Bernard reprend vite malgré tout sa méditation sur le mystère d'amour de Dieu pour l'humanité et du Christ pour son Église ; c'est là que s'enracine la joie qu'il veut communiquer à ses auditeurs, celle de l'épouse heureuse de l'attention que lui prête l'époux, ce qu'il traduit en ces termes :

    « Réjouissons-nous, 'voici notre gloire' : nous sommes ceux à qui Dieu prête attention » (Sermon 68, 1).

    La préparation de ce tome IV des Sermons sur le Cantique de Bernard de Claivaux, l’avant-dernier de cette publication, a été assurée, comme celle des précédents volumes, par le P. Paul Verdeyen, s.j., professeur à l’Université d’Anvers, pour l’introduction et les notes, et par le F. Raffaele Fassetta de l’abbaye Notre-Dame de Tamié, pour la traduction du texte. M. Jean Figuet et Sr Marie-Imelda Huille, moniale de l’abbaye Notre-Dame d’Igny, ont pris en charge la rédaction des notes bibliques ; le P. Bernard de Vregille, s.j., de l’Institut des Sources Chrétiennes, a révisé la traduction. Ce travail d’équipe, comme l’ensemble de l’entreprise d’édition des Œuvres complètes de Bernard, est coordonné par le P. Dominique Gonnet de l’Institut des Sources Chrétiennes ; il est désormais secondé dans cette tâche par Laurence Mellerin, membre de notre équipe CNRS.

    Jean-Noël Guinot

    Œuvre(s) contenue(s) dans ce volume

    Sermons sur le Cantique des Cantiques 51-68

    Les Sermons 51 à 64 ont été écrits entre 1139 et 1143 ; les Sermons 65 et 66 datent sans doute des années 1144-1145. Les Sermons 67 et 68 ont suivi de près. Le texte latin est repris de l’édition des Sancti Bernardi Opera II, p. 83-201, avec quelques corrections (p. 34-35).

    Sermon 51 : sur Ct 2, 5-6, les fleurs et les pommes ; la main gauche et la main droite de l’Époux

    Sermon 52 : sur Ct 2, 7, « Je vous en conjure… » ; le sommeil de l’épouse, la contemplation ; les gazelles et les cerfs

    Sermon 53 : sur Ct 2, 8, la voix du bien-aimé ; les montagnes, les collines, les bonds de l’Époux (1)

    Sermon 54 : les montagnes, les collines, les bonds de l’Époux (2) ; les dangers de l’orgueil

    Sermon 55 : sur Ct 2, 9, l’Époux comparé à la gazelle et au faon ; le jugement de soi-même

    Sermon 56 : sur Ct 2, 9, le mur, les fenêtres et les fentes

    Sermon 57 : sur Ct 2, 10 ; le regard de Dieu ; l’attente de la venue de l’Époux ; la contemplation (Marthe, Marie, Lazare)

    Sermon 58 : sur Ct 2, 10-12 ; l’ordre de se hâter ; la taille de la vigne

    Sermon 59 : sur Ct 2, 12 ; la voix et la chasteté de la tourterelle

    Sermon 60 : sur Ct 2, 13 ; le figuier et ses fruits, la vigne et son parfum

    Sermon 61 : sur Ct 2, 14 ; « Ma colombe dans les trous du rocher » ; les blessures du Christ

    Sermon 62 : la muraille et ses cavités ; les sortes de contemplation ; « Montre-moi ton visage »

    Sermon 63 : sur Ct 2, 15 ; la vigne et les renards qui la ravagent

    Sermon 64 : les quatre espèces de renards

    Sermons 65-66 : en réponse à Évervin de Steinfeld, Bernard s’adresse à l’Église tout entière contre les hérésies condamnées à Cologne en 1143.

    Sermon 67 : sur Ct 2, 16 ; « Mon bien-aimé est à moi » ; l’expression de l’expérience mystique en paroles, l’éructation

    Sermon 68 : le soin de l’Époux pour l’épouse ; les mérites et la présomption de l’Église.

    Lettre d'Évervin de Steinfeld à Bernard de Clairvaux

    Évervin, prévôt de Steinfeld, informe Bernard au sujet d’hérétiques rhénans, manichéens, condamnés à Cologne en 1143. On ignore de quels manuscrits est tirée l’édition de ce texte.

    Extrait(s)

    L'éructation de David (SCt 67, 7, p. 383)

    David n’était-il pas un juste, quand il disait : J’ai attendu, attendu le Seigneur (Ps. 39, 2) ? C’est le quatrième que je nomme dans la liste de ceux qui ont fait une éructation ; j’allais presque le passer sous silence. Il eût été bien dommage (2 Co 12, 1). Il ouvrit sa bouche et aspira l’esprit (Ps. 118, 131) ; rassasié, non seulement il fit une éructation, mais il se mit à chanter. Jésus miséricordieux, quelle grande douceur pour mes narines et mes oreilles que cette éructation et ce chant ! C’est l’huile d’allégresse dont Dieu t’a oint de préférence à tes compagnons, c’est la myrrhe, l’aloès et la cannelle qui ruissellent de tes vêtements ; avec ces parfums, sortis de maisons d’ivoire, des filles de rois t’ont réjoui et honoré (Ps 44, 8-10). Puisses-tu me juger digne de rencontrer ce grand prophète, ton ami, au jour de fête et de joie, lorsqu’il sort de ta chambre nuptiale (Jl  2, 16), chantant son épithalame sur la harpe mélodieuse et la cithare (Ps 80, 3), débordant de bonheur (Ct 8, 5), aspergé de ces aromates odoriférants qu’il répand partout (Ct 3, 6) ! Ce jour-là, ou plutôt à cette heure-là – car si cela arrive, ce sera dans l’espace d’une heure, et peut-être moins encore, d’une demi-heure, selon cette parole de l’Écri­ture : Il se fit un silence dans le ciel, environ une demi-heure (Ap 8, 1) – à cette heure-là, mes lèvres éclateront de joie et ma langue tressaillira d’allégresse (Ps 125, 2). Car je humerai, je ne dis pas chaque psaume, mais chaque verset, chaque éructation, et leur parfum surpassera tous les arômes (Ct 4, 10).

     

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