• SC 443

    Hilaire de Poitiers

    La Trinité, tome I
    (Livres I-III)

    juin 1999

    Texte critique par P. Smulders (CCL). — Introduction par M. Figura et J. Doignon (†). — Traduction par Georges-Matthieu de Durand (†), Charles Morel et Gilles Pelland. — Notes par Gilles Pelland.

    Ouvrage publié avec le concours du Centre National du Livre.
    ISBN : 9782204062329
    396 pages
    Indisponible chez notre éditeur

    Une pensée originale, des pistes restées vierges après lui : Hilaire, théologien et pionnier.

    Présentation

    La doctrine du concile de Nicée (325) sur l’égalité « consubstantielle » du Père et du Fils n’a pas été reçue par l’Église constantinienne sans de graves affrontements : au cours du IVe siècle, par l’alliance du pouvoir impérial et d’une fraction importante de l’épiscopat, l’hérésie arienne submerge l’empire. En Gaule, l’évêque de Poitiers est le premier à résister. Balayé par ses co-évêques au concile de Béziers (356), il est exilé en Orient.
    Profitant de son éloignement forcé pour entrer à fond dans la complexité du débat, il entreprend la reconquête. Et d’abord par les douze livres de son traité La Trinité. C’est là son œuvre majeure. Hilaire s’y révèle « un Rhône d’éloquence », comme l’écrit Jérôme. Avant tout exégète de la Parole divine, il sait aussi argumenter en parfait héritier de la culture antique. Son traité sur la Trinité, avant celui d’Augustin, demeure l’un des exposés les plus décisifs sur ce dogme central dans la théologie chrétienne.
    Ce premier tome comporte l’introduction et les livres I à III, les deux autres tomes (SC 448 et 462) les livres IV à XII.

    Jean Doignon (1922-1997), professeur à l’Université de Franche-Comté, a aussi édité les Commentaires sur les Psaumes d’Hilaire.
    Georges-Matthieu de Durand, o.p. (1923-1997), professeur à l’Université de Montréal, a publié plusieurs volumes touchant à la christologie et à la théologie trinitaire dans la Collection. 
    Michael Figura, prêtre du diocèse de Mayence, est l’auteur d’une thèse sur l’ecclésiologie d’Hilaire, publiée en 1984.
    Charles Morel, s.j. (1908-2004), a aussi publié plusieurs œuvres de Grégoire le Grand dans la Collection.
    Gilles Pelland, s.j., a été recteur de l’Université Pontificale Grégorienne et de l’Institut Pontifical Oriental à Rome. 

    Le mot des Sources Chrétiennes

    La publication dans Sources Chrétiennes du grand ouvrage dogmatique d'Hilaire de Poitiers, La Trinité (SC 443), devrait combler l'attente des théologiens, des historiens du dogme et de la crise arienne, au IVe s., en Orient et en Occident. Grâce à une solide Introduction d'environ 200 pages, due au Père Michael Figura, du diocèse de Mayence et au regretté Jean Doignon, spécialiste reconnu d'Hilaire ; grâce aussi à la traduction d'un texte latin particulièrement difficile, réalisée par le Père Georges M. de Durand, également trop tôt disparu, et revue par les Pères Charles Morel et Gilles Pelland ; grâce enfin à l'annotation de ce dernier, ancien recteur de l'Institut Pontifical Oriental de Rome, l'accès est désormais rendu plus facile à l'œuvre majeure de celui qu'on nomme l'« Athanase de l'Occident ». Le texte latin est, avec quelques modifications, celui que P. Smulders a établi pour le Corpus Christianorum (CCL 62-62A).
    Ce premier tome d'une publication qui en comportera quatre contient, outre l'Introduction générale, les trois premiers livres du traité d'Hilaire. Le lecteur aura pourtant un aperçu de l'ensemble de l'œuvre, car à la fin du Livre I, Hilaire annonce le contenu des douze livres de La Trinité. En réalité, les Livres I à III constituent un ouvrage autonome, un exposé de la foi chrétienne en la Trinité, de caractère essentiellement dogmatique et catéchétique. Cela a conduit certains spécialistes à penser qu'Hilaire aurait pu rédiger ces trois premiers livres en Gaule, avant son bannissement en Asie Mineure, à la suite du synode arien de Béziers qui le déposa de sa charge d'évêque de Poitiers, en 356. C'est alors qu'il serait entré en contact avec la théologie orientale et aurait entrepris son combat vigoureux contre l'arianisme. Cette vision des choses est aujourd'hui contestée par une majorité de spécialistes : l'ensemble du traité aurait été composé pendant les années d'exil, entre 356 et 360. Conçus à l'origine comme un ouvrage indépendant, les Livres I à III auraient été ensuite intégrés, moyennant quelques retouches et incohérences, à l'ample réfutation polémique de l'arianisme et du néosabellianisme que constituent les Livres IV à XII, pour faire de La Trinité un ouvrage organiquement homogène.
    Le Livre I, qui sert de porche au traité dont il définit l'objet – l'exposé de la vraie foi et la dénonciation des doctrines hérétiques –, avant d'en indiquer le plan, retrace, sur le mode des « confessions », l'itinéraire spirituel d'Hilaire. La philosophie n'apportant aucune réponse vraiment satisfaisante à sa recherche inquiète du sens de la vie, Hilaire raconte comment sa découverte de la Bible lui a révélé Dieu, notamment à partir d'Exode 3, 14 (Je suis celui qui suis), et comment la lecture du Prologue de Jean l'a conduit à la foi et au baptême, vraisemblablement reçu à l'âge adulte, vers 345. Le Livre II, après un bref exposé de la foi chrétienne à partir de la formule baptismale de Matthieu 28, 19-20 – l'ordre de baptiser « au nom du Père et du Fils et de l'Esprit Saint » –, traite successivement des trois personnes de la Trinité, les plus longs développements étant réservés à la génération éternelle du Fils. Le Livre III est tout entier consacré à pénétrer le mystère de l'unité du Père et du Fils dans la distinction des personnes ; il s'achève par une exhortation à la foi qui sert de conclusion à ce « traité dans le traité » que forment les trois premiers livres.

    Jean-Noël Guinot

    Œuvre(s) contenue(s) dans ce volume

    La Trinité

    Hilaire est le premier théologien occidental à écrire un ouvrage de théologie sur la Trinité, composé dans les années 356-360, dates du triomphe de l’arianisme (360). S’il se pose en défenseur de Nicée (consubstantialité du Père et du Fils), qu’il n’a découvert que pendant son exil, sa pneumatologie non encore développée reste imparfaite. Les dates de début et de fin du traité sont incertaines : les livres I-III ont sans doute été écrits après son arrivée en exil en Phrygie ; quelque temps après, il écrit les livres IV à XII (peut-être fin 357-début 358). Il est sans doute arrivé au livre X début 359. Il n’est pas exclu qu’il n’ait terminé qu’après son retour à Poitiers. À cause de sa rédaction étalée dans le temps, les livres I-III et IV-XII, qui devaient être au départ deux ouvrages indépendants, sont rassemblés en un seul traité : Hilaire a modifié son projet initial entre la fin de l’actuel livre V et le début du livre VI. Il a ensuite remanié son texte entre le livre VI et le livre IX afin de lui donner une unité interne.

    L’ouvrage comporte plusieurs sources : Irénée de Lyon (sur la doctrine de l’Incarnation), Novatien (pour l’interprétation des versets 1 et 26 de la Genèse 1 par exemple), Tertullien (mais de façon nuancée), Eusèbe d’Emèse (homéousien qui considère lui aussi l’Evangile selon Jean comme le texte trinitaire fondamental), Athanase (Sermons contre les ariens, sur l’unité entre le Père et le Fils, la spécificité de la génération du Fils…).

    Le texte latin, qui sert de référence à l’heure actuelle, est celui de P. Smulders (CCL LXII-LXII A) ; il a été établi d’après 22 manuscrits divisés en quatre familles. Quatre manuscrits datent des Ve-VIe s. (Paris, BN, lat. 2630 ; Paris, BN, lat 8907 ; Cité du Vatican, Archivio di S. Pietro D 182 ; Vérone, Bibl. capitolare, XIV). La présente édition a procédé à plusieurs modifications présentées p. 170-186.

    La Trinité d’Hilaire fait l’objet d’une parution en 4 volumes aux Sources Chrétiennes : 1, SC 443, Introduction, Livres I-III ; 2, SC 448, Livres IV-VIII ; 3, SC 462, Livres IX-XII.

     

    Malgré son unité interne, le traité se divise en deux parties qui suivent des méthodes différentes :

    • I-III : prologue et présentation positive de la foi, mentionnant l’arianisme occasionnellement. La partie la plus importante du livre II est consacrée au Fils (8-28). Le livre III est centré sur le mystère de l’unité et de la distinction entre le Père et le Fils.
    • IV-XII : réfutation de la christologie arienne et exposé de la doctrine orthodoxe en opposition polémique à l’arianisme.
    • IV-VIII : réfutation de la lettre d’Arius à Alexandre.
    • IX-XII : riposte à des contre-arguments ariens. Exposé de l’interprétation orthodoxe des passages de l’Écriture sur lesquels les ariens se fondent pour prouver l’infériorité du Fils par rapport au Père.

    La Trinité I-III

    Les trois premiers livres expriment la conversion de l’auteur et l’entrée dans son combat pour la gloire de la foi donnée et sauvée par le Dieu Trinité : : prologue et présentation positive de la foi, mentionnant l’arianisme occasionnellement. La partie la plus importante du livre II est consacrée au Fils (8-28). Le livre III est centré sur le mystère de l’unité et de la distinction entre le Père et le Fils.

    Extrait(s)

    Hilaire qui n’utilise qu’à peine, deux fois, le terme de « Trinité », introduit par deux fois dans son texte écrit une prière aux personnes divines. La première grande invocation est placée en conclusion du premier livre, p. 270-273, la seconde, au milieu du livre VI, p. 206-211. La première est une action de grâce pour la conversion vécue, la seconde, un aveu paradoxal d’impuissance par rapport aux données de la foi. Nous citons ici l’exorde de l’une et de l’autre.

    Pour moi, je suis en vérité conscient, ô Père, Dieu tout-puissant, que c’est envers toi le principal devoir de ma vie que tous mes discours et mes pensées parlent de toi. Et de fait, cet usage de la parole que tu m’as accordé ne peut apporter de récompense plus grande que d’être à ton service en te prêchant et de démontrer au monde qui l’ignore et à l’hérétique qui le nie ce que tu es, à savoir le Père d’un Dieu monogène. Et tel est à la vérité le seul propos avoué de ma volonté ; le reste est un présent de ton aide et de ta miséricorde à demander par la prière : que tu remplisses du souffle de ton Esprit les voiles, déployées pour toi, de notre confession de foi et que tu fasses progresser la course de notre prédication.

    Attention ! ce qui suit est un aveu d‘allégeance complète à la foi trinitaire par antiphrase, et qui commence par le rappel véridique de la conversion à la fois libre et imposée.

    Et d’abord, après avoir imploré de toi mon pardon pour la très vive impatience de ma douleur, souffre, ô Dieu tout-puissant, que je m’adresse à toi et, terre et poussière que je suis, attaché à toi pourtant par le lien sacré de l’amour, accorde-moi de parler ici librement. Un malheureux néant, voilà ce que je fus, jadis ; je n’avais pas conscience de vivre, je ne me connaissais pas moi-même, je ne possédais pas ce qui fait mon être. Car, toi qui n’as pas besoin de moi, tu ne m’aurais pas fait commencer d’être pour que ce soit le commencement de mon malheur. Mais une fois que tu m’eus donné, avec le souffle vital, l’intelligence pour raisonner, tu m’as appris à te connaître au moyen des livres que je tiens pour saints par l’intermédiaire de te serviteurs, Moïse et les prophètes. Par eux, tu as révélé que tu n’étais pas à révérer comme un Dieu solitaire. Là j’ai appris à connaître en même temps que toi un Dieu non pas différent en nature, mais un avec le mystère de ta substance. J’ai appris à te connaître, toi, Dieu en Dieu : non par un mélange qui serait confusion, mais par la puissance de la nature, présence en lui par ce qui te fait Dieu, présent en celui qui est issu de toi ; non que tu fusses à la fois lui et en lui, mais le fait bien réel d’une naissance parfaite nous enseignait que tu étais présent en celui qui était issu de toi.

    Autre extrait (p. 243-245)

    20. … Comme il n’est pas d’ascension possible à travers des escarpements si on ne ménage des marches qui conduisent peu à peu les pas vers le sommet, nous de même avons ménagé des points de départ et nous avons facilité ce chemin ardu de l’intelligence non plus en taillant des marches, mais en offrant aux pas un plan d’une inclinaison telle que les grimpeurs y montent progressivement sans presque s’en rendre compte. 21. En effet, après ce premier livre de mon exposé, le suivant enseigne le mystère de la génération divine ; de telle sorte que ceux qui doivent être baptisés dans le Père, le Fils et l’Esprit Saint n’ignorent pas la vérité signifiée par ces noms et ne confondent pas le sens de ces vocables, mais prennent chacun d’eux dans l’acception correspondant à la réalité et à l’usage. Ainsi percevront-ils très clairement que, dans ces énoncés, la vérité est traduite par le nom et le nom ne trahit pas la vérité. 22. Conséquemment, après ces indications faciles et brèves sur la Trinité, le troisième livre marque une progression lente, il est vrai, mais déjà effective. Grâce à toutes les manifestations possibles de sa puissance, le Seigneur rend en effet accessible à une foi intelligente ce qu’il a déclaré sur lui-même, et qui dépasse les capacités de l’intelligence humaine par ces mots : « Je suis dans le Père et le Père est en moi. » De la sorte, ce que l’hébétude naturelle de l’homme ne lui permet pas de saisir, la foi l’atteint désormais par un savoir raisonné.

    Autre extrait : II, 1

    Du mystère du salut des hommes, est-il rien en effet qui ne soit contenu là-dedans ? Ou rien qui y soit laissé de côté ou obscur ? Tout y est plénitude comme provenant de celui qui est plénitude et perfection : là-dedans tout à la fois les termes sont indiqués, les réalités posées, les problèmes situés, la nature expliquée. Il a ordonné de baptiser au nom du Père, du Fils et de l’Esprit Saint, c’est-à-dire en professant la foi au Principe, au Monogène et au Don. La source de toutes choses est unique, car il y a un seul Dieu le Père de qui sont toutes choses ; unique est le Monogène, Notre Seigneur Jésus-Christ, par qui sont toutes choses ; unique aussi l’Esprit – don qui est en toutes choses. Toutes choses, donc, sont ordonnées selon leurs vertus et leurs mérites : une unique Puissance de qui proviennent toutes choses, un unique Engendré par qui sont toutes choses, un unique Bienfait comblant toute espérance. Et l’on ne découvrira rien qui manque à une telle plénitude : dans le Père, le Fils et l’Esprit Saint on trouve l’infinité dans l’éternel, la visibilité dans l’image, la jouissance dans le bienfait.

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