• SC 155

    Hugues de Saint-Victor

    Six opuscules spirituels
    La Méditation. La Parole de Dieu. La réalité de l'Amour. Ce qu'il faut aimer vraiment. Les cinq Septénaires. Les sept Dons de l'Esprit-Saint

    Série des Textes Monastiques d'Occident XXVIII
    décembre 1969

    Introduction, texte critique, traduction et notes par Roger Baron.

    Ouvrage publié avec le concours du Centre National de la Recherche Scientifique.
    ISBN : 9782204038201
    144 pages
    Qu'est-ce que méditer ? Un concentré de sagesse, par un représentant de la renaissance du 12e siècle.

    Présentation

    Savant encyclopédiste bien représentatif de la renaissance du XIIe siècle, Hugues de Saint-Victor est aussi un auteur spirituel qui voulait Dieu premier en toute chose. En très peu de pages chaque fois, les six opuscules que réunit ce volume traitent de sujets divers : Qu’est-ce que méditer, au-delà d’une simple activité intellectuelle ? Que fait en nous la Parole de Dieu, que nous donne-t-elle à voir que nous ne verrions pas sans elle ? Que peut-on aimer vraiment ? Hugues commente aussi le Notre Père, pour montrer qu’en sept demandes il répond aux sept vices humains principaux, et parle enfin des sept dons de l’Esprit pour convaincre son lecteur que, plus il est pécheur, moins il doit craindre de l’invoquer. On trouve en ce volume comme un concentré de la sagesse et de l’expérience de ce contemplatif voué au travail de l’esprit et à la culture, sans jamais en faire une fin en soi.

    Le mot des Sources Chrétiennes

    Dans l’extraordinaire floraison qui caractérise la Renaissance spirituelle du XIIe siècle, feu le Chanoine Baron aimait à souligner le relief particulier de l’École de Saint-Victor, à Paris : l’union de l’étude et de la piété, de la vie active et de la vie contemplative et liturgique, de la science et de la sagesse.

    C’est bien ce qui marque en particulier l’œuvre de Hugues, ce flamand nourri de S. Augustin, de Cassien, de Grégoire le Grand. Formé en Saxe, il passe les 20 dernières années de sa vie dans la célèbre abbaye parisienne, à laquelle il donne son orientation intellectuelle et spirituelle. Il s’intéresse aussi bien à la grammaire, à la géométrie et à la philosophie, qu’à l’Écriture sainte, à la théologie, à la spiritualité.

    C’est dans le domaine de l’ascétique et de la mystique que se situent les opuscules publiés ici : La Méditation, La Parole de Dieu, La réalité de l’Amour, Ce qu’il faut aimer vraiment, Les Cinq Septénaires, les sept Dons de l’Esprit-Saint. Peu connus, authentiques, ces quelques traités révèlent une grande expérience de la vie intérieure.

    L’auteur, qui s’était consacré à l’étude de Hugues et de ses œuvres, fait une excellente analyse de chaque traité et nous en donne une traduction exacte et nuancée. Ncus devons à l’équipe du Glossaire du Latin médiéval philosophique de la Sorbonne l’index des mots latins.

    Livre de lecture spirituelle pour tous, mais, oserons nous le dire ? particulièrement utile aux « intellectuels ».

    Œuvre(s) contenue(s) dans ce volume

    De meditatione

    La méditation est un thème qui traverse toute l’œuvre d’Hugues de Saint-Victor, mais il lui consacre spécifiquement un traité bref (8 pages) où il la définit comme une « réflexion insistante » (frequens cogitatio) qui s’interroge pour chaque objet sur ce qu’il est (le mode), pourquoi il est (la cause), et comment il est (la raison). Pour lui, la méditation s’exerce sur les créatures, sur l’écriture et (surtout) sur les mœurs, ce qui fournit les trois parties de son traité, la troisième étant de loin la plus longue. Le traité manifeste le goût de la classification des objets intellectuels, indéfiniment subdivisés et dénombrés.

    Le traité est d’une authenticité hugonienne assurée par sa présence dès les premières éditions des œuvres complètes d’Hugues préparées au sein même de son abbaye. Il figure dans plusieurs dizaines de manuscrits latins.

    Définition de la méditation et de ses trois genres. La méditation sur les créatures : elle part de l’admiration, et dispose à faire en sorte que les réalités terrestres deviennent comme les célestes. La méditation sur l’écriture : elle fait connaître la vérité et enseigne à se détourner du mal ; elle a pour objet le triple sens de l’écriture (histoire, allégorie, tropologie). La méditation sur les mœurs : elle concerne les affections, qui doivent être droites et sincères, les pensées qui doivent être pures et ordonnées, et les actions qui doivent suivre une intention bonne et droite. Elle questionne la conscience de chacun et s’interroge sur l’origine des mouvements du cœur, cachés ou manifestes, pour déterminer ce qui est bon ou mauvais, ce qui vient de Dieu, du diable ou de la chair. Réflexion sur les critères de discernement.

    De uerbo Dei

    Une bonne douzaine au moins de manuscrits transmettent ce traité parmi les œuvres certaines d’Hugues, attestées aussi par une table des matières de ses œuvres réalisée à Saint-Victor peu après sa mort. Le traité réfléchit à partir de quelques versets de l’épître aux Hébreux sur ce qu’est la parole de Dieu et sur ses effets en chacun. Il ne s’agit pas ici d’un traité sur les différents sens de l’écriture, dont l’auteur a parlé ailleurs. Comme He 4, 12 parle de la parole qui pénètre jusqu’au point de division de l’âme et de l’esprit, Hugues s’interroge sur ces divisions en l’être humain et sur le discernement qui permet d’y voir clair dans ses pensées et ses désirs. On a dans ces pages essentiellement un commentaire de He 4, 12-13.16 et He 5, 1-2.

    Le Verbe est l’unique parole de Dieu. Mais comme l’écriture parle au pluriel des paroles de Dieu, comprenons que ce sont les paroles humaines par lesquelles Dieu se fait entendre. La voix du Verbe est pour nous comme le fut sa chair, un sacrement. Commentaire de He 4, 12 : la parole de Dieu vivante, efficace, pénétrante. Division de l’âme et de l’esprit. Chair, esprit et âme profonde ; leur activité. Pensées, désirs, intentions : comment le bon engendre parfois le mauvais et vice versa. Le discernement qu’opère la parole de Dieu. Commentaire de He 4, 13. L’œil de Dieu, l’œil de la chair et leurs rapports. Dieu lit dans les cœurs humains. La médiation du Christ. He 5, 1-2 : les pontifes, l’office des prélats devant Dieu et devant le peuple.

    De substantia dilectionis

    Une bonne vingtaine de manuscrits transmettent ce traité de 6 pages parmi les œuvres certaines d’Hugues (bien que deux manuscrits l’aient attribué à Augustin) ; son authenticité est attestée aussi par une table des matières de ses œuvres réalisée à Saint-Victor peu après sa mort.

    L’amour ou dilectio est un des grands thèmes chers à Hugues de Saint-Victor, et pour lequel il emprunte entre autres à Augustin et à sa fameuse théorie des deux amours (qui ont bâti les deux cités). Il réfléchit sur l’essence même de l’amour, sa substantia, qu’il tente de définir. Il le fait, comme souvent, en distinguant : amour du monde et amour de Dieu, cupiditas et caritas. Le premier va vers l’extérieur, le second vers l’intérieur. L’auteur aide à situer dans le mouvement de l’amour les trois éléments qui en sont l’objet possible : Dieu, le prochain, le monde. Comment orienter son désir et sa course entre ces trois pôles ? Tel est l’enjeu pour ordonner la charité (cf. Ct 2, 4).

     

    Les deux amours, celui du monde, celui de Dieu, cohabitent en nos cœurs. Pourquoi parler de l’amour. Qu’est-ce que l’amour ? Définition. Il peut être bon ou mauvais. La charité ordonnée : Dieu et le prochain. Trois objets de l’amour : Dieu, le prochain, le monde. Trois phases : point de départ, accompagnement, but ; comment situer les trois pôles dans ces trois phases. Ce qui fait que la charité est ordonnée.

    Quid uere diligendum sit

    Cet opuscule de 3 pages est transmis par quelques manuscrits à la suite de l’opuscule La réalité de l’amour comme s’il en était la continuation. De fait, le thème en est le même. Le traité, partant du principe que l’amour est inhérent à l’être humain, s’interroge sur l’objet de l’amour : aimer est une nécessité, mais nous pouvons choisir quoi aimer. L’auteur propose alors une voie réaliste pour guider l’humanité imparfaite vers l’amour parfait, en couronnant sa réflexion avec la notion de salut.

     

    Nul ne vit sans amour. Mais qu’aime-t-on, qui rende heureux ? Pas soi-même, cela ne comble pas ; pas un objet imparfait hors de soi ; le souverain bien à aimer, c’est Dieu : en l’aimant on est heureux. Mais cela demande de l’entraînement : on ne peut demeurer toujours dans la pensée de Dieu ; gardons-nous au moins des mauvaises pensées. L’amour des biens éternels, comme un bateau, nous met à l’abri des tempêtes en nous empêchant de nous jeter dans l’instable. On construit pour soi cette arche salutaire en contemplant l’œuvre de salut accomplie par Dieu.

    De quinque septenis

    L’objet annoncé de ce traité est de réfléchir à plusieurs ensembles qui vont par sept dans l’écriture. L’auteur en a trouvé 5 et étudie chacun d’eux en les reliant les uns aux autres : les sept vices, auxquels correspondent les sept demandes du Notre Père ; les sept dons du Saint Esprit ; les sept vertus ; les sept béatitudes. Chaque demande du Notre Père s’oppose à un vice, obtient un don de l’Esprit qui fait naître en nous une vertu et nous obtient une des béatitudes. Le traité est donc centré sur le Notre Père et montre, pour chaque demande, ce qu’elle accomplit en nous ; c’est un traité sur la prière et non une spéculation sur le symbolisme du nombre sept que l’auteur ne cherche pas à commenter.

    Le traité, d’authenticité certaine, figure dans la liste des œuvres d’Hugues établie à Saint Victor après sa mort. Il est transmis par de nombreux manuscrits, et a été repris en outre presque entièrement dans une autre œuvre publiée sous le nom de l’auteur, le commentaire sur Abdias (qui est probablement, en réalité, de Richard de Saint-Victor).

     

    Introduction : le principe de la correspondance des cinq septénaires, qui sont énumérés. Les sept vices capitaux : l’orgueil soustrait Dieu à l’homme en lui donnant l’illusion qu’il est la source de ce qu’il a ; l’envie suit inévitablement puisqu’alors on se compare aux autres ; s’ensuit la colère contre soi-même ; et disparaît la joie pour faire place à la tristesse, puis à l’avarice, à la gourmandise et à la luxure. Les sept demandes du Notre Père s’opposent à ces sept vices. « Que votre nom soit sanctifié » s’oppose à l’orgueil et apporte l’humilité ; « que votre règne arrive » à l’envie puisque c’est le salut pour tous ; « que votre volonté… » s’oppose à la colère en engendrant la componction ; « donnez-nous aujourd'hui… » rend la force et chasse la tristesse ; « Remettez-nous nos dettes… » s’oppose à l’avarice en nous libérant de toute inquiétude ; « ne nous induisez pas en tentation » barre la voie aux tentations de la chair et en particulier la gourmandise, pourvu qu’on garde en tout la mesure et qu’on reste vigilant avec intelligence ; enfin « délivrez-nous du mal » s’oppose à la luxure et obtient l’esprit de sagesse qui nous restaure à l’image de Dieu.

    De septem donis Spiritus Sancti

    à la différence d’une théologie postérieure qui distinguera vertus et dons, Hugues s’applique dans ce bref traité de 5 pages à montrer l’unité des dons de l’Esprit, qui découlent de la même source et visent ensemble à nous faire enfants de Dieu. Il insiste en passant sur la quête de l’Esprit, qui ne vient pas en nous sans que nous le recherchions, et sur son rôle thérapeutique, car nous le recherchons dans la difficulté et l’affrontement au mal, sa venue en nous n’est pas immédiatement apaisante.

    Cet opuscule a été publié sous le nom de saint Bernard (peut-être aussi de saint Augustin), mais il est certainement d’Hugues ; il figure dans la liste des œuvres d’Hugues établie à Saint Victor après sa mort et il est présent dans bien des manuscrits des œuvres d’Hugues. Certains manuscrits et certaines éditions l’ont considéré à tort comme un morceau final du traité sur Les cinq septénaires.

     

    C’est le Père qui donne l’Esprit, mais il ne donne qu’à ceux qui demandent, et à la mesure de la demande. Il faut demander les dons célestes et non corporels, qui viennent de surcroît. Il faut convier l’Esprit lui-même qui nous guérira et nous fera fils. Les sept dons de l’Esprit sont l’Esprit lui-même qui se donne sous sept modes, remèdes aux sept vices. énumération des sept esprits : crainte, piété, science, force, conseil, intelligence, sagesse. Ce sont les multiples effets de l’unique Esprit, comme la lumière une a des effets différents – parfois douloureux si notre œil est malade. L’arrivée de l’Esprit en nous engendre une lutte : c’est le remède qui lutte contre le mal, il ne faut pas renoncer et consentir au refus de l’Esprit. Bienfaits de sa venue : on devient lucide sur le mal, on en éprouve une peine qui est médicinale, car c’est en étant affligé qu’on veut se corriger. La souffrance ressentie, en particulier la crainte, est bénéfique. De cette peine naît notre liberté.

    Extrait(s)

    Méditation III, 5 (SC 155, p. 55-57)

    Il est des œuvres bonnes où même beaucoup de mouvement n’aboutit qu’à peu de progrès ; il en est d’autres où des efforts limités apportent un grand fruit. Ce qu’il faut discerner et choisir de préférence, c’est donc ce qui est plus utile. Tout ce qui est plus utile est meilleur, et toute œuvre doit être jugée à son fruit. Beaucoup, faute de ce discernement, ont fait de grands efforts pour peu de profit. C’est qu’ils ont eu seulement l’œil extérieur dirigé vers l’apparence de l’œuvre, et non l’œil intérieur dirigé vers le fruit de la vertu.

    La parole de Dieu I, 1 (SC 155, p. 61)

    Il faut savoir que Dieu parle autrement par la bouche des hommes, autrement par lui-même. Que Dieu en effet parle parmi les hommes par les hommes, presque toute l’écriture de l’Ancien et du Nouveau testament en témoigne. Il parle donc par les hommes. Il parle par lui-même : par les hommes, de multiples paroles ; par lui-même, une seule. Mais en toutes ces paroles qu’il a proférées par les lèvres des hommes fut présente cette unique parole, et en son unicité toutes ne font qu’un : sans elle, elles n’ont pu être proférées en quelque lieu ou temps que ce soit. Examinons donc ce grand sacrement.

    La réalité de l’amour II (SC 155, p. 87)

    L’amour se montre être la jouissance que prend le cœur de quelqu’un, pour quelque objet, pour quelque motif. Il est désir en l’appétit, joie en la fruition : désir, il court ; joie, il se repose. En ce point-là réside ta bonté et réside ta malice, ô cœur humain, puisque tu ne tires de nulle autre part d’être bon si tu es bon, ni d’être mauvais si tu es mauvais ; mais seulement de ce que tu aimes, soit bien soit mal, ce qui est bon. En effet, tout ce qui est, est bon ; mais si ce qui est bon est mal aimé, il reste bon, mais cela est mal. Ce n’est donc pas celui qui aime qui est le mal, ni ce qu’il aime qui est le mal, ni l’amour duquel il aime qui est le mal : c’est le fait qu’il aime mal, qui est le mal, et c’est là tout le mal. Ordonnez donc la charité (Ct 2, 4), et du coup aucun mal n’existe.

    Ce qu’il faut aimer vraiment II (SC 155, p. 97)

    Ce monde entier est comme un déluge : tout ce qui est de ce monde s’écoule comme l’eau parmi la fluctuation d’événements incertains. Quant à la vraie foi, qui ne promet pas les biens passagers, mais les biens éternels, elle soulève l’âme, comme si c’était hors des flots, hors de la cupidité de ce monde, et elle l’élève vers le ciel ; les eaux, certes, peuvent la porter, mais nullement la submerger, car, si elle use de ce monde autant que la nécessité l’exige, l’affection ne l’enlace pas aux désirs qu’il suscite.

    Donc, celui qui ne croit pas aux biens éternels et ne désire que ce qui passe, celui-là, tel un naufragé qui peine au milieu des flots sans bateau, le courant impétueux de l’eau l’entraîne. Celui qui, tout en croyant aux biens éternels, aime ce qui passe, celui-là fait naufrage près du bateau. Et celui qui croit aux biens éternels et les aime, celui-là, demeurant dans le bateau, traverse en sécurité les flots de la mer agitée.

    Les cinq septénaires II (SC 155, p. 105-107)

    Lorsque tu enseignes à aimer le don en dehors du donateur, celui qui s’arroge à tort la part du bien que le donateur lui a donnée, du coup perd tout le bien qui est en lui, si bien qu’il ne peut même pas tirer profit de ce qu’il a, étant donné qu’il n’aime pas ce bien en celui de qui il le tient. En effet : comme tout bien vient en vérité de Dieu, il ne sert à rien de posséder aucun bien en dehors de Dieu. Bien plus, on perd même ce qu’on a, puisqu’on ne l’aime pas en celui et avec celui de qui on le tient. Quiconque en effet ne connaît que le bien qu’il a en lui, nécessairement l’aime à l’intérieur de lui-même, si bien que s’il aperçoit en quelqu’un d’autre un bien qu’il ne possède pas, le tourment de ce manque lui est d’autant plus amer qu’il n’aime pas celui en qui réside tout bien.

    Les sept dons I (SC 155, p. 121)

    Il est écrit : Si vous, bien que vous soyez mauvais, vous savez donner de bonnes choses à vos fils, combien plus votre Père céleste donnera-t-il l’Esprit bon à ceux qui le lui demandent (Lc 11, 13). Ainsi, le Père céleste donnera l’Esprit à ses fils qui le lui demandent. Ceux qui sont fils, en effet, ne cherchent rien d’autre ; ceux qui cherchent autre chose sont des mercenaires, des esclaves, non des fils. Ceux qui cherchent l’argent, qui cherchent l’or, qui cherchent les biens éphémères, qui cherchent les biens terrestres, cherchent un service d’esclave, non l’esprit de liberté. Ce que tu cherches, tu le reçois. Si tu cherches les biens corporels, tu ne reçois rien de plus que ce que tu cherches. Si tu cherches les biens spirituels, tu reçois ce que tu cherches, et ce que tu ne cherches pas s’y ajoute.

    Errata

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    Remarques

    38

    n. 3

    Vigier

    J. Vignier, Augustini Supplementum, I p. 388-390 (= n° XII à la suite des 11 sermons provenants de la Chartreuse)

     

    51

    § 1 l. 31

    deuxièment

    deuxièmement

     

    73

    § 2 l. 32

    l’intérieur des coeurs

    l’extérieur des cœurs

     

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